» L’agence AADL1, nous a fait perdre 20 ans de notre vie et AADL2, nous a fait perdre 10 ans de notre vie dans l’attente. Et maintenant que nous pensons que nous allons avoir les clés de nos appartements,après avoir accompli toutes les procédures exigées en bonnes et du formes, on nous dit qu’il faut attendre encore. Parcequ’il y a des changements à la tête de l’agence », » Nous avons signé des contrats avec l’organisme et non pas avec des personnes » déplorent de nombreux souscripteurs qui font le va et viens pour réclamer leurs droits aux logements au niveaux des guichets du service commercial. L’insatisfaction commence à partir de l’accueil ou l’on attend des agents dire : » Au suivant », « Au suivant » pour faire passer plus de personnes au de répondre aux nombreux réclamations dans le respect des personnes qui souffrent de multioles obstacles quotidiennement.
A chacun son histoire, des centaines de souscripteurs ne savent plus à quel sains se vouer à cause de la bureaucratie administrative. A.B journaliste de profession regrette » Au lancement de l’opération AADL 2013, on a dit que les journalistes travaillant aux niveaux des rédaction d’Alger ne sont pas concernés par le certificat des résidences pour des raisons spécifiques liées à leurs travail. Le ministre de l’habitat Tarek Belaribi en personne a confirmé l’information devant les medias. Le président de la République l’a dit également devant les medias. La quasi majorité des journalistes, sont des locataires. un nombres de journalistes indetermines vivent et travaillent dans la précarité. hommes est femmes habitent dans des dortoirs. La période de la Issaba, malheureusement a tout chamboulé. Chacun fait sa loi », regrette ce confrère qui s’expriment sous l’anonymat, afin de préserver leurs emplois et intégrité morale et physique face à une catégorie de magouilleurs de toutes parts qui ont des reproches.
Enfin, le manque de transparence dans la gestion des dossiers à engendre des situations qui relèvent du crimes et économique au detriment des valeurs morales et la loi qui exige la transparence totale, plusieurs souscripteurs suggèrent que la numérisation de l’administration AADL, doit suivre l’exemple de l’administration judiciaire, afin de mettre toutes les informations à la portée du publics au lieux de rester entre les loins de certains responsables irresponsable et agents indélicats au point de ce comporter en toute confiance et aisance, sans se soucier des conséquences de leurs travail.
Le manque d’information et de transparence au niveau de l’agence AADL 1 et 2, est un secret de polichinelle. Un nombre indetermines de souscripteurs sont morts ou tombée malades à force d’attente. Le contrat des souscripteurs AADL, stipule 24 mois pour avoir les clés de leurs habitations, malheureusement. Le temps passe très vîtes est passé de 10 à 20 ans. Les recours sont très nombreux. Mes les travailleurs est Agents AADL, ne savent pas ce qui se passe dans leurs lieux de travail. Silence radio pendant que d’autres font des affaires sur le dots des souscripteurs. Superviseurs, agents et responsables se plaignent de manque d’information. La boîte noire, c’est dans les têtes et non pas dans les systèmes informatiques. La transparence fait énormément défaut.
Rédaction