Des milliers d’habitants venus des nombreux villages voisins dont, Aguemoune, Tizekht, Thiouale, Thachaouafth, Thansaouth, Ijaad, Laazib Sidi Sadek, Bouyakni, Ijdharane, imazithane, également de Seddouk, Amalou, Ighzer Amokrane de la vallée de la Soummam, Beni Chebana, Beni Ourtilane et même de Sétif, Bordj Bouraridj, Bougaa et plus, démontrent toute la valeurs de cette rencontre historique qui a vu les chefs historiques qui ont décidé lors de cette rencontre avec la population. Les batailles qui ont eu lieu à la montagne Achthoug (Lota n’Slimane), les bombardements aérien du village Tizekht, thaourirth, Aguemoune, Thachaouafth, à plusieurs reprises, les batailles qui se sont déroulés dans les montagnes Arabtat, Tizi n’tezmamt, Assif n’bousselam, laazib sidi sadek, continuent jusqu’à présent de faire Objets d’actualités auprès de la population locale, pour ne citer quelques exemples que gardent la population à jamais. Même si le peu des véritables moudjahidines qui restent en vie partent, il y a toujours ces objets et montagnes qui rappelleront les générations avenir. Mohand Akli, Chaib, âgé de 65 ans environ, affirme. « J’avais 12 à 14 ans à l’époque. Je n’ai pas compris tout le discours. Mais, il y a une chose que j’ai retenue dans la mémoire et qui restera à vie. Mohand Oulhadj a dit que cette région a payé un très lourd sacrifice en vie humaine et matériel. Beaucoup de famille ont souffert durant toute la révolution ». Cette date et place historique ou a eu lieu la rencontre des chefs historiques avec le peuple, restée anonyme ou confisqué par le spectre de l’hégémonie politique et autre esprit du complexe du colonisé qui cache la vérité au peuple, n’a fait et ne fait que du mal aux générations poste indépendance.
A.C