Éliminée des le premier tournoi de la CAN 2023 à la côte d’ivoire, l’équipe nationale dirigée par Djamel Belmadi a montrée son incapacité contre la Mauritanie par un échec de 0-1 des la première mi-temps. De nul en nul auparavant contre l’Angola 1-1 et 2-2 contre le Burkina fasse, jusqu’à à la fin tragique de la perte face à une équipe qui réalise son rêve contre vent et marré contre le pays du football. Félicitation à la Mauritanie. Il n’est jamais trop tard pour rebondir, mais sans les prochaine années. Peut-être. Un jour on reverra les beaux jours des verts.
En fait, ce n’est pas le cas des matchs amicaux ou elle gagne facilement par des scores de 3 et 4 à zéro mais à huit clos. Le coach national possède toujours un dent contre quelques journalistes heureusement pour ne pas dire tout les journalistes. Et maintenant ?
Les changements opéré à trois reprises au niveau de la tête de la FAF, n’ont ils pas influé négativement sur le moral du groupe qui n’a pas vraiment réalisé l’exploit de 2019 ?
L’optimisme béat dès commentaires de la télévision nationale, n’ont-ils pas précipité le retour des verts au premier tour de cet événement Africain ?
Montrer un joueur, notamment Mandi avec avec une bouteille d’eau entrain de faire une rokia en directe à l’entrée du match à la télévision, à-t-il un sens ?
On est pas étonné du tout de voire la décadence morale, tactique et technique de l’équipe qui mélange les torchons à tout points de vues. Il ne faut surtout pas être un spécialiste en la matière pour mettre le point sur la politisation et l’islamisation des esprits qui tournent le dos à la réalité des choses.
Dieu a t’il favorisé la Mauritanie ou telle et telle équipe contre une autre équipe? . Le populisme et la politique politicienne, ne fait qu’eloigner le peuple de la réalité. Voilà, pourquoi on ne peut pas aller de l’avant. Il faut commencer à dépoussiérer le sport de la politique dès aujourd’hui pour construire un autre état d’esprit qui compte sur le travail et la réalité des choses au lieu d’emballer l’échec des sportifs sur le dos du destin. Le fruit du travail se récolte sur le terrain. Ce n’est pas étonnant du temps. Chacun est responsable de ses actes devant sa propre conscience d’abord. Mais, il faut en être très conscient de son histoire. Une déception générale. Il faudra toute une planète sportive pour gagner la coupe d’Afrique et se qualifier à la prochaine coupe du monde.
A C