Abdelkrim Boudraa et Aïd Mabrouk, deux membres actifs du collectif des citoyens NABNI, ont suggéré des propositions assez importantes, afin de contribuer un tant soit peu à la résolution de la crise politique et économique que travers le pays. Engendré par le « système corrompu et corruptible » de Bouteflika qui a miné le pays par une vermine des clans et corrompus, Abdelkrim Boudraa a d’emblée fait savoir que la solution ne peut venir que par un dialogue qui rapproche tous les acteurs et partenaires actives qui placent l’intérêt national au-dessus des intérêts personnels et partisans. « Cette situation peut arriver dans les temps normaux, mais pas dans les situations de crises. La responsabilité individuelle et collective implique la participation de tous » a-t-il souligné, lors de son intervention, dimanche au forum El Moudjahid.Les deux invités du forum El moudjahid, qui se sont montré au-dessus de la mêlée des clans qui placent leurs intérêts personnels et partisans au-dessus de l’intérêt du pays, ont étudiés les expériences des pays qui ont connu des crises similaires pu pire à l’image du Brésil, l’Espagne, la Tunisie, l’Indonésie qui ont vite réagit, pour faire des concessions de part est d’autres avant d’arriver à des convergences qui garantissent la stabilité et le développement durable du peuple. Aid Mabrouk, de son côté a mis en évidence l’importance du lien existant entre le politique et la question économiques qui vont ensemble. « Les réformes politique et économique vont ensemble pour éviter de retomber chaque fois dans les mêmes crises », souligne M Mabrouk. La transition passe par un dialogue avec le pouvoir même s’il on n’est pas en accord. Cela nécessite un engagement sans faille de part est d’autres pour bâtir une dimension économique solide qui répond aux besoins est l’évolution du peuple. La solution commence par l’identification des points noire, les rendre public et tirer des leçons du passé afin d’éviter de tourner au rond et revenir aux même situations, fait-il savoir.
A.C