L’excès de zèle et provocations de quelques agents ne fait que nuire à la situation qui a duré déjà quatre moi, selon de nombreuse familles. Des jeunes ont été arrétés rien que pour avoir le drapeau Amazighe dans leurs saccoches. « Mon fils a été arrété pour avoir prit le drapeau Amazighe dans son sac. Pourtant, il ne l’a pas brandit. Les agents ont fouillé son sac et ils l’ont embarqué tout de suite. j’attend la réponse du commissariat qui nous a promit de le liberer. Mon fils, n’est pas le seul qui a été embarqué pour la même justification », a regrétté Mohamed Idir. D’autres jeunes qui ont brandits le drapeau Amazighe, ont été conduits directement à la prison d’El harrach, selon Mohand Idir, agé de 65 ans environ. La situation a prit une autres ampleurs. Meme les portables ont étés saisies ou obligés les uns est les autres à supprimer des photos. Hassan journaliste déplore « On m’a confiqué mon téléphone portable. Il a fallut que j’insiste auprès du policier en tant que journaliste pour m’obliger à supprimer les photos sur place », regrette t-il. Des femmes plus averties, ont trouvées une autre manière d’expprimer leurs attachement à l’identité Amazighe. Ils poussent au pourrissement de la situations. L’interdiction du drapeau Amazighe, est une provocation de plus pour diviser le peuple Algérien qui a compris les manipulation politiques du système en place. Taous, militante engagée, lance un message très fort a qui voudra entendre et connaitre la bétise du pouvoir politique injuste et méprisant. « Ils ont interdit le drapeau Amazughe dans les marches. On a tissé de robes Bèrberes avec des couleurs jaunes et verts. S’ils veulent nous enlever les robes, c’est encore pire que l’identité,c’est la dignité du peuple qui est touchée directement.Eh bien, ils n’ont qu’a nous nos enlever nos vêtements », souligne déplore t-elle.
S.F