En plus de la difficultĂ© du payement du satellite qui permet la diffusion des programmes de la chaĂ®ne de tĂ©lĂ©vision Dzair TV, appartenant au groupe Haddad, plus de 400 employĂ©s qui attendent leurs salaires depuis plus 4 mois en vain  » ils nous ont promi de verser un salaire jeudi passĂ© sur les 5 mois pour tenir le coup, et ce, en attendant le rappel des salaires, mais malheureusement, rien n est fait. « Les travailleurs ne peuvent pas tenir plus longtemps » a dĂ©plorĂ© un employĂ© qui souffre le martyrr et ne sait plus quoi faire.  » Doit on commencer Ă chercher du travail ailleurs, ce qui veut dire perdre tout ses droits, ou bien rester et attendre encore pour voire plus claire son avenir au sein du groupe. MalgrĂ© l’installation d’un administrateur qui devraient faire les dĂ©marches nĂ©cessaires pour le règlement de la situation, le rĂ©sultat est toujours nĂ©ant, regrettent d’autres employĂ©s. Plusieurs mouvements de protestation qui ont Ă©tĂ© organisĂ©s depuis la cabale de l’emprisonnement du chef d’entreprise Ali Haddad, prĂ©sident du FCE au mĂŞme temps, les travailleurs continuent de vivre le calvaire d’une crise dont,ils ne sont nullement responsables. MĂŞme situations que vivent les travailleurs des deux journaux le Temps d’AlgĂ©rie et Wakt El Djazair qui partagent les mĂŞmes prĂ©occupations depuis. Dur dur de rester cinq mois sans salaire. Père de famille ou cĂ©libataire, leurs salaires reste la seule source de financement pour rĂ©pondre Ă l’exigence quotidienne. Il faut vivre des situations similaires pour connaĂ®tre la vĂ©ritable dĂ©tresse des milliers d’autres.
Y.B