Ce sont les procédures bureacratiques qui ne sont pas en adéquation avec la réalité du terrain qui posent problème pour le développement des entreprises algériennes.
La 2ème édition du Salon international du fer, de l’acier et des produits miniers qui a ouvert ses portes du 5 au 7 mars à la Safex, enrigistre la participations des principaux acteurs de l’exploration, de l’exploitation, mais aussi la participation l’Institut Algérien des Mines IAM de Boumerdes qui assure la formation des ingénieurs, techniciens supérieurs et techniciens spécialisés, afin d’assurer la disponibilité de la main d’oeuvre et de l’expertises qui répondent aux besoins du secteur de l’energie et des mines, à commencer par les deux nouveaux projets qui ont étés lancés à gara Djebilet et Oued Amizour ainsi que pour d’autres usines du pays.
Placé au coeur du développement de tous les secteurs et en particulier, le secteur de l’energie et mines puisque l’on est en plein mutation économique et sociale, pour justement limiter et réduire les importations, Dr Feltane Sonia, spécialiste dans l’exploitation minière sous terrain et directrice générale de l’Institut IAM, n’a pas manquée d’exprimer sa volonté et engagement de porter l’institut IAM au plus haut niveau des établissements internationale, souligne » L’institut IAM est crée en 2009.sous tutel du ministère de l’energie et des mines. Le siège social et à Tamenrasset et une annexe à Boumerdes. Nous avons comme mission d’accompagner les entreprises des energies et des mines en matière de formation continue. Nous assurons des formations de spécialisation et de mises à niveau, la formation de qualifications dans toutes les activités du secteur des mines. Tout secteur qui tourne autour de para mines« , at-elle indiquée.
Tenant compte de l’importance du sujet des énergies et des mines, La directrice générale de l’IAM, Sonia Feltane, Docteur d’Etat, est invitée à présenter demain mercredi à partir de 15h00, une importante communication qui porte sur la nouvelle vision stratégique du domaine des energies et des mines.
La bureaucratrie administrative ralenti le développement de l’industrie
Le développement en cours de grands projets du secteur minier au niveau national doit permettre de mieux approvisionner l’industrie algérienne en matières premières et réduire la facture des importations. D’autres part, un nombre important de représentant de sociétés n’ont pas manqué de relever un serieux problèmes qui se pose depuis des années au niveaux d’Alger et du ministère du commerce qui décide tout sans associer les trois opérateurs economiques seulement extant en algérie et qui ralenti le développement de l’industrie à cause de la bureaucratie administrative. » Ce sont les procédures bureacratiques qui ne sont pas en adéquation avec la réalité du terrain qui posent problème pour le développement des entreprises algériennes. On confond souvent entre matiere premiere, produit semi fini et produit fini. Ils ne demandent meme notre avis sur les produits. Aucun pays en Afrique ne produit l’acier que l’on utilise dans les usines qui se retrouvent parfois à l’arret de production a cause d’une pièce ou de matière première », a déploré Hamza Behlouli, Ingénieur en Métallurgie, cadre commercial a l’entreprise Pro Distributeur de matériel pour l’industrie qui n’ pas manqué de demander une rencontre entre les trois opérateurs activant dans le même secteur avec les représentant du ministère ou du ministre du commerce lui meme.
Afin de clarfier cette situation qui traine depuis des années, et pourtant, il y va dans l’interêt national et le développement du secteur de l’industrie en particiler, le président de la République Abdelmadjid Tebboune, le ministre de l’industrie Ali Aoun, ne cessent de revenir chaque fois sur la necessité de lutter contrer la bureaucratie administrative qui retrade le développement des entreprises qui constritue la base du développement economique national.
A.C