Lançant son entreprise au village Ikharbane, cne et daira de tazmalt, wilaya de Bejaia, Fouad Dermel qui avait d’autres ambition s’est retrouvé dans un autre projet.Il realise l’exploit, affirme:
» Je n’ai jamais pensé à produire de la galette sur la base du riz. L’idée a commencée par une simple discussion entre amis. J’ai acheté une petite machine Italienne. J’ai commencé la production du produit en 2016. Actuellement, on arrive pas pas à satisfaire la demande du marché. Nos stocks s’épuisent rapidement. Ça ne dépassent pas une semaine. Nous avons travaillé avec une équipe et nous sommes obligés de travailler avec deux équipes pour satisfaire la demande qui auguement de plus en plus » affirme Fouad Dermel que nous avons rencontré à l’occasion du salon impex 2023 à la safex.
Sans concurrent dans son activité qui crée des emplois aux femmes rurales du village, le projet de ce fabricant peut aller jusqu’à dépasser des dizaines si ce n’est des centaines d’employés en raison de l’évolution rapide de son activité.
Partant d’un petit village son produit arrive dans plusieurs wilayas et villes du pays dont le Sud a commencer par Ouargla, Hassi Messaoud, Oued Souf etc. » C’est un produit croustillants, sans conservateurs et sans additifs. Ça coupe l’appétit et il est bon pour le colon. Nous avons commencé la production sur la base du riz blanc et bientôt ce sera avec le maïs pour avoir plusieurs goûts pour satisfaire la demande du consommateur », à indiqué Mr Dermel dans un esprit ouvert et très modeste. Tenant compte de l’évolution rapide de entreprise qui emploi une dizaines de femmes du villages, cet investisseur de grandes ambitions, songe de passer vers l’extension de son projet à commencer par l’acquisition d’une nouvelle machine de production en mesure de produire jusqu’à 2000 pièces/heures.
Fort de sept 7 produits dans sa gamme de production avant de passer à 13 produits contre un autre concurrents qui n’a que 2 gammes, Fouad n’a pas manqué de déploré l’abscence du riz blanc en vrac dans le marché national. » Tout le monde sait que notre pays, ne produit pas du riz. Je ne vois pas pourquoi on interdit son importation. Pour l’instant, on ne fait que nous débrouiller pour l’achat du riz blanc qui était à 100 DA/kg avant de passer à 170 DA », s’est interrogé ce créateur de richesses et de l’emploi dans une zone rurale, classée comme zone d’ombre ou l’on doit encourager les investissements au lieu de se retrouver bloqué par des obstacles qui ne devront pas avoir lieu.
Le ministère du commerce est vivement interpellé pour y remédier à la situation dans les meilleurs temps pour assurer le nécessaire à la production agroalimentaire. Kamel Rezuig, est il au courant de tout ce qui se passe sur le terrain des investissements qui souffrent des choses élémentaires a la vie quotidienne des citoyens?
A C