Actualisé.Veritable valeurs ajoutée pour les collectivités et développement locale, Fouad Haddad, p/apc de la commune amalou qui est à son deuxième mandat répond au sujet du nouveau code communale avancé par le président de la République Abdelmadjid Tebboune,afin de responsabiliser d’avantage les premiers responsables des communes.
» Nous n’ avons pas encore ce code communale. On est tenu par le code de la wilaya. Si non, les maires, sont plus proche de la réalité de leurs commune et situation des citoyens….Si j’avais le pouvoir des décisions au niveau, c’est notre commune qui va apporter une plus-value au développement locale. Au lieu de dépendre des budgets alloués qui restent très insuffisants pour répondre aux besoins de la commune sur tout les plans« , souligne M Haddad que nous avons rencontré au niveau du siège de l’APC Amalou wilaya de Bejaia.
Ingénieur en génie civile, doté d’une culture générale très ouverte, ce président de l’APC, a lui même provoqué le changement en convaincant l’ancien P/APC Djamel Azzoug qui a passé plusieurs mandats de laisser place aux nouvelles compétences de la commune. » J’ai beaucoup de respect pour tout ce qu’il a fait et donné pour la commune. Il pensait que si jamais il parte, la commune va sombrer dans le néant. Mais, ce n’est pas le cas. Nous avons continué à travailler pour l’intérêt général et le développement de la commune. Le résultat est là « , souligne Mr Haddad qui n’a pas manqué de saluer l’ancien P/APC et a même de continuer à soutenir les efforts de toute la commune pour aller de l’avant.
Située dans une zone d’ombre, cette commune du premier notaire au niveau Africain et signatair des accords d’Évian le 19 mars 1962 à savoir Abderrahmane Fares « 1911-1991 », sans omettre le lustre artiste Allaoua Zerrouki et plus, la commune d’ Amalou qui date depuis 1957 s’apprête à célébrer le 61 même anniversaire du cessez le feu dans la modestie citoyenne, continue d’enregistrer des avancées considérables grâce à ses enfants, mais aussi un manque remarquables, à commencer par l’ouverture d’un établissement de santé publique digne de son nom en plus de l’assainissement au niveau des villages.
» Nous avons un budget très faible par rapport à l’évolution des besoins. On parle de l’exigence de la diversification des sources de création de richesses et de compter sur les moyens de la commune pour réduire les dépenses de l’État qui dépend des hydrocarbures, oui, il etait temps. Mais, il faut savoir qu’on a présenté qu’on a présenté toute un projet d’investissement pour le développement locale depuis 2018. Jusqu’à présent, nous n’avons reçu même pas une réponse pour discuter le projet« , déplore M Haddad.
Défendant sa commune corps et âme pour le bien-être des citoyens, et ce, contrairement à d’autres élus qui n’osent même pas s’exprimer devant les autorités locales, le P/APC qui réjouit d’un respect reconnu aussi bien auprès de la population et les autorités locales de Bejaia, insiste sur l’aspect compétences et engagement: » Lorsque on est élu, on doit lever la casquette de l’appartenance politique.on doit rassembler tout le peuple autour de l’objet tracé qui va dans l’intérêt général sans aucune distinction. On doit se débarrasser de l’esprit de complaisance et rester objectif devant ses responsabilités. Si non, on a pas s’engager dans des postes qui nous dépassent et subir après toutes les conséquences » affirme le président de l’APC d’Amalou dans la vallée de la soummam a Bejaia.
Évoquant la problématique du cadastre qui touche pratiquement toutes les communes, le président de l’APC d’Amalou qui enrigistre 3000 contieux sur 9000 dossiers en tout souligne : » La c’est un vrai problème. Souvent, les gens prend les choses à la légère. Ils ne connaissent pas la loi. Ils ramènent deux témoins et on leurs signe des documents, sans tenir compte de la présence des autres parties concernées et les voisins pour vérifier les délimitations des terrains « , déplore M Haddad qui soulève le fond du problème à savoir la formation des agents du cadastre qui n’ont aucune notion de loi et logique des choses: » Le cadastre a une grand responsabilité dans ce sens. Il y a des citoyens à qui l’on a signé des documents officiel sans tenir compte de l’autre côté. Enlever un terrain à quelqu’un injustement, c’est comme si l’on touche à leurs dignité humaine est citoyennes. A notre niveau, on a terminée les opérations du cadastre. On ne cautionne pas l’injustice« , a souligné le p/apc d’Amalou qui tient au principe de la loyauté et l’honnêteté intellectuelle surtout en tant que responsable et représentant du peuple.
A.C
