Cris du cœur d’une femme algérienne. « On veut une marche pour les femmes seulement, afin de se démarquer de la mysogénie de la femme elle-même qui ignore ses droits et devoirs etégalement des hommes qui campent dans l’esprit religieux et traditionnel au point de réduire à néant, la valeur de la personne humaine », déplore Maria S, cadre commerciale. Toute en avançant que les femmes Algérienne doivent se démarquer de l’esprit rétrograde qui freine l’évoloution du pays, cette rebbelle anonyme poursuit son témoignage colérique « Je suis sortie pour la marche du vendredi 20, par respect à la mémoire des martyrs de l’indépendance qui ont sacrifiés leurs vies et biens pour nous, la génération post indépendance. Mon père est décdé à l’age de 49 ans. Aujourd’hui, je supporte très mal la situation de mon pays, qui pousse les meilleurs du peuple a s’expatrier et laisser les autres dans l’indifférence totale » déplore maria. Digne de sa patrie, personnelité et famille de martyrs, Maria n’a pas manquée de toucher du doigt la problématique du mariage qui touche un nombre très important de femmes et hommes célabataires qui souffrent dans le silence et solitude, sans pour autant réagire d’égale à égale. « Au 21é siecle, nous vivons dans une société traditionnelle et religieuse qui ne pense qu’au mariage. C’est leurs seule objectif. Si l’on dépasse 30 ans, on est mal vue et mal considérée au sein de sa propre famille,voisinage et monde du travail. Je me demande pourquoi toute cette mentalité rétrograde et regréssive qui se limite au mariage seulement, alors qu’il y a de multitudes de choses à apprendre à développer et créer pour faire avancer le pays et le bien etre des algériens en général ». Doté d’un ésprit universel qui va dans la logique du savoir et de la recherche scientifique, Maria a étée licenciée injustement de son poste de travail. Conséquence de la mauvaise gestion et des chefs qui ne font pas la différence entre la valeurs des compétences et de la médiocrité, cette éxpérience malheureuse concerne des milliers de cadres et compétences qui sont marginalisés et liecnciés abusivement. Cœur damné, cet dame qui se refuge dans le monde de l’écriture depuis des années, afin d’exprimer les joies et peines d’un quotidien qui n’est pas facile pour les gens honnêtes et crédibles a fini malheureusement par déchirer ses polycopes et supprimer tout ce qu’elle avait comme inspiration. Insistant sur l’importance de l’égalité des droits et respect de la personne humaine à part entiere, cette dame n’est autre que le miroir de cette réalité que l’on dénonce chaque vendredi depuis le 22 février 2019 à travers les 48 wilayas.
Y.B