» Si nous venons à mourir, défendez nos mémoire« , ces quelques mots très significatifs de feu didouche mourad, doivent être inscrits dans le manuel scolaire depuis le cycle primaire, afin de perpétuer l’engagement et l’esprit de nos glorieux martyrs qui ont sacrifiés leurs vies et biens pour les générations postes indépendance.
Soixante deux ans après l’indépendance nationale au prix de 1,5 martyrs, l’Algérie post indépendance a-t-elle réalisée les objectifs de la déclaration du 1 novembre 1954 ?
Très difficile de répondre à cette question qui dérange les tenants du pouvoir depuis 1962 à ce jour. Le 18 février 2024, journée du chahid qui coincide avec la date de naissance de feu Zighoud Youcef, Hassiba Benbouali et bien d’autres martyrs qui sont tombés aux champs d’honneur durant la guerre de l’indépendance nationale, doit interpeller chaque algériens digne de sa patrie et respecte la mémoire des martyrs en son âme et conscience.
Nous allons essayer d’être neutre, mais surtout objectif par rapport à l’évolution de notre pays depuis le 5 juillet 1962. Selon les situations qu’à connu le pays depuis le cessez le feu le 19 mars avant le référendum décisif du peuple Algériens, nous allons dire et écrire que l’Algérie aurait pu mieux faire.
La lutte des clans a été fatale pour le pays. La corruption a touché les hauts responsables jusqu’aux derniers agents et portiers. La violence ver ales et physique sont un secret de polichinelle depuis la réunion de Tripoli.
Le Maroc de Hassan II jusqu’à Mohamed 6, pays voisins à faillit au devoir de bon voisinage jusqu’à vendre la terre du peuple Marocain au profit de l’entité sioniste. S’ajoute a cela, l’occupation illégal de la terre Sahraoui avec la complicité de l’Espagne etc.
L’imbrication de plusieurs situations néfastes qu’à connu notre pays depuis jusqu’à la décennie noire qui a causé autant de mal en dernier l’ere de la Issaba qui a regne durant 20 ans au moins, 1999-2019 a causé autant de retard pour le développement du pays. Autant de blocages du peuple algérien privé de s’exprimer politiquement et mediatiquement, n’a engendré en faite, que des conflits internes au points de voire des milliers de jeunes algériens périrent dans les larges de la méditerranée.
Bref, tournons la page du passé qui ne reviendra jamais. Pensons à la stabilité, la paix qui constitue la base de tout développement. Parceque, l’ennemi de demain est pire que celui que nous avons connu jusqu’à présent. Le sang des martyrs, coulent dans. Nos veines depuis très longtemps. Unité, Solidarité et fraternité entre algériens. Seule arme pour faire face à l’ennemi.
A.C