Bouhamroune tue encore. Un enfant de 2 ans est décédé à cause de cette maladie qui provient de la dernière inondation, a-t-on appris auprès des témoins bien informés de la situation. L’unique établissement des soins santé publique EPSP de Djanet se trouve saturé avec l’avènement de cette catastrophe naturelle qui révèle les secrets. Les patients qui se trouvent en situation d’hémodialyse et autres maladie de bouhamroune, se joignent dans le même établissement. Malgré la séparation des services, cette maladie de bouhamroune qui revient au milieu des regroupements commence à faire tache d’huile depuis quelques jours. Tout se fait dans le silence est loin des médias. Afin de cacher la réalité au peuple ou bien jouer sur l’apaisement des souffrances pour éviter d’affoler les uns est les autres est une monnaie courante. Au demeurant. Jusqu’à quand et à quel prix encore ? A défaut d’assumer les responsabilités à tous les niveaux, le recours au code « maladie non identifiée », revient souvent pour des raisons que l’on vient de citer. Le bouhamroune fait peur. Au village Ain Berber. Un établissement de santé de proximité sans moyens humain et matériel pour recevoir la prise en charge des patients, ne serait-ce dans des cas d’urgence. Sans médecins, sans et ambulance pour le transport des patients à Djanet qui se trouve à
Le tourisme au ralenti
Zone touristique et frontalière par excellence rappel les années de 1970 ou le roi Baudoin du Royaume Belge venait presque chaque année pour y passer ses vacances. A l’instar d’autres wilayas du pays qui connaissent des retards similaires ou pire, la wilaya d’Illizi enregistre un pas en avant et deux en arrière en matière de développement touristique surtout. Les dernières inondations ont révélé tout le retard et laxisme qui ne devraient pas avoir lieux dans une administration qui se place au service du peuple. Enregistré à l’étude depuis 2009 pas moins de 7 ponts qui devraient être réalisés. 4 ponts à Djanet, 2 ponts à Bordj El Houas 1 pont au village Ihrir qui se trouve à 140 km du chef-lieu de la daïra Djanet. Routes nationale cassé ou impraticables, complique les déplacements depuis. Les dégâts registrés ont causé des pertes considérables pour les pauvres malheureux surtouts qui n’ont d’autres ressources que le soutien et la solidarité du peuple et les éléments de l’ANP qui sont toujours les premiers à répondre à l’appel du devoir ou qu’ils soient à l’échelle national. Il est question de plus de 80 têtes de cheptels qui sont emportés par les eaux. 65 maisons devenues inhabitables, défaillance du réseau sanitaire, la scolarisation des enfants perturbées, les magazines pour l’approvisionnement alimentaires vidés.
A.C