Entre la colère des intellectuelles et la folie des grandeurs, nous avons préféré « La follie des intellectuelles » comme titre de notre sujet du jour. Cela vient en réponse à un échange verbale entre des personnes qui se croient atteindre le summum. Sauf que le journaliste a plus de liberte et d’avanatge pour justement, mettre et remettre les choses dans leurs justes valeurs. L’ethique, l’emporte sur les prestiges et toutes situations.
Cela ne devrait pas avoir lieu. En aucun cas. Surtout lorsque l’on se proclame auteur, écrivain, chercheur, artiste etc. Le mot intellectuel est trés lourd de sens. Ce n’est jamais un vain mot. La modestie avant tout. De nos jours, le mot « intelect » est devenu comme un sujet d’un match de football que l’on commente H24/7/7 toutes les saisons. Le sport est une distraction. Le travail de l’esprit, est une trés lourde responsabilité morale, culturelle, etc.
La scène se passe entre deux personnes; Un auteur et un journaliste dans une ville de mille et une histoire qui porte un nom très significatif. Par respect aux personnes qui font la part des choses entre ce qui est intellectuel et incultes, nous préférons parler de la scène et non pas des lieux et des personnes. D’ailleurs, ce n’est pas notre objectif. et ça ne peut pas l’être. Sans importance.
De retour après trois jours de voyage à l’Est du pays, un journaliste s’est rapproché de l’auteur d’un livre qui dit qu’il est le seul auteur a avoir ces informations sur le sujet d’une bataille assez importantes, contre le colonialisme français et aussi auteur de 17 livres. On croit atteindre le summum parceque on publie. c’est faux. Les hommes intelligents et intellect sont partout. Nous sommes dans le champ de la production du livre et non pas dans les stades de foot pour compter le nombre de but. La qualité, la vérité des choses, l’emporte. On est pas dans un match pour compter le nombre de but. On est pas dans le commerce pour compter les recettes. mais, un débat d’idées. Bref.
Selon son auteur, ce livre porte sur l’histoire d’une bataille X. L’auteur avance qu’il est le seul a avoir des informations sur le sujet. Par curiosité et devoir professionnel, le journaliste demande une copie du livre pour les besoins de son article. L’auteur répond en présence d’autres personnes plus averti sur le sujet. En premier le journaliste qui a un un travail de rédaction a faire. Malheureusement, l’auteur veut faire l’intéressant et répond sans tenir compte des dessous de sa médiatisation et balance la grande bêtise : » Je vais te dire qu’est ce que tu vas faire. Tu vas m’enregistrer pour ton article. je ne donne pas le livre… ». Plus au moins choqué, parceque, il y a rendez vous en commun accord, le journaliste répond: » On ne dit jamais à un journaliste ce qu’il doit faire. seul son responsable directe. Ici, nous sommes dans un stade hors sujet. On ne badine pas avec les médias er l’histoire. Ce que l’on doit connaitre et respecter avant et aprés tout.
Le journaliste rétorque » Non Mr. Ce n’est pas à vous de me dire comment et qu’est ce que je vais faire. seul ma conscience me dicte ce que je dois faire ou ne pas faire », « Laissez votre livre chez vous » lui repond t-il dans un état d’esprit loin d’être calme, mais sans rancune. La mihnet el mataaib, subit encore et encore même du côté des personnes externe et pas seulement du pouvoir pouvoirs politiques et économiques. Au dialogue les conséquences. Pourvue que la vérité fait son chemin. La ou réside toute l’importance de l’écriture de l’histoire et les médias qui rapportent fidelement la réalité;
Sous l’effet de la fatigue du voyage et toutes autres pressions, » La Mihnet el mataaib », résiste. Le journaliste laisse libre cours à son caractère de faux calme. Et ajoute en guise de conseil: » Avec ce comportement. Vous êtes dans le sens de l’autodustruction ». L’auteur répondre « J’ai publie 17 livres. Vous êtes notre journaliste et notre reference... ». La crédibilité morale, l’emporte sur le commerce à tous prix. Chaque choses sa place et valeurs réelle.
A.C