« Presque tous les hommes peuvent faire face à l’adversité ; mais si vous voulez tester la capacité de quelqu’un, donnez-lui le pouvoir » Abraham Lincolin.
Cette citation de l’un des célèbres hommes d’Etat libre qu’a connu la terre, doit interpeller la conscience des Algériens et Algérienne à réfléchir d’avantage sur la place des médias qui constitue un des fondements de la démocratie, de la construction de l’Etat de droit et de la justice sociale par excellence. La dégradation de l’environnement des médias, se répercute négativement sur le développement durable du pays. Le nombre effarant des journalistes digne de leurs professions qui ont changé de métier du journalisme, est une responsabilité de l’Etat qui ne protège pas assez les journalistes Algériens. En 2015/2016, un jeune homme de 14 ans, s’est présenté comme directeur d’une publication d’un journal. C’était le temps de l’ex ministre Hamid Grine qui a assisté la conférence animé par Mme Marvine Howe, journaliste Américaine qui à travailler à New York Times, à l’occasion d’un salon national de la communication à la Safex. Elle a couvert la révolution Algérienne en 1956 et elle est revenue en 2019 pour la couverture de la marche du peuple. Hirak. Elle dit texto. « En Amérique, il n’y a pas de presse publique et presse privé. Mais il y a une presse Américaine ». Elle a joutée que la presse américaine n’est pas parfaite, parce que ma revue Middle East Reporter est censurée par ce que on défend la cause de la Palestine. « On doit donner plus de liberté aux journaux de l’opposition pour faire des enquêtes et éclairer l’opinion publique nationale en toute liberté » suggère-t-elle en tant que professionnelle du domaine. Ce n’est pas en faisant dans la censure que l’on peut régler les problèmes et développer le pays, dit-elle. Si l’on revient aux nouveaux textes réglementés concernant les médias Algériens, le problème reste toujours dans l’application et non pas la préparation et rédaction des textes.
A.C