Les étudiants hier, aujourd’hui et demain. Comme le temps avance très rapidement, d’abord personne n’attendait la journée du 22 février 2019 pour voir les Algériens, toutes catégories sociale, âges et diversités unit et solidaire au niveau national pour dire au système corrompu dégage et aussi, personne ne s’attendait que le mouvement aller continuer avec le même rythme du mois de ramadhan, malgré la chaleur, la soif et le jeune, est cela fait déjà 4 mois depuis le début de l’évènement politique. Plusieurs noms et personnalité que l’on pense intouchables, sont tombés sous la colère du peuple qui a juré une fois pour toute qu’il ne s’arrêtera pas son mouvement pacifique jusqu’à au départ de tout le système qui a semé le mal, l’injustice, la pauvreté et encore pire, ce système à pousser le peuple à se soumettre aux ordres de Bouteflika et de son clan. Il y a quelques années, Bouteflika parler de bonne gouvernance et de prix Nobel qui pourra lui être décerné. Hélas pour lui, Heureusement pour le prix et revenu au peuple qui a prôné le pacifisme jusqu’au bout. Bien organisé pour gérer le temps réparti entre les études et les marches hebdomadaires de tous les mardis, et ce, jusqu’à la satification total de la revendication démocratique, les étudiants Algériens donne du fil à retordre au système corrompu qui ne veut toujours pas comprendre que c’est eux l’avenir du pays, c’est eux qui auront la charge politique, économique, sociale et culturelle d’ici quelques années. Yacine rassure « La pression ne nous fait pas peur. Le nombre des policiers et des fourgons de police ne nous dissuade pas. Bien au contraire. Ça nous motive d’avantage », dit-il. Tout en gardant à l’esprit le mot d’ordre « marche pacifique et continue jusqu’au changement du système qui a mis la République à genou., disent-il.
A.C