A l’instar de tous les pays du monde, l’Algérie célèbre la journée internationale de la presse, le 3 mai de chaque année. Au-delà des célébrations annuelles, l’Algérie a connu trois étapes cruciales dans sa politique médiatique.
Il y a d’abord la presse de la période coloniale qui a lutté contre l’exploitation des hommes et richesses du pays au prix de la vie et liberté. La seconde période c’est la presse post indépendance qui se distingue aussi par deux étapes paradoxales. D’une côté, c’est la dictature du parti unique qui a règné sur tous les plans et d’un autre côté un bon nombre de journaux publiques se sont distingués par leurs indépendance et oppositions au système politique avec la plus grande conviction de servir la patrie au-delà du système en place.
Les titres qui ont dérangé ont été tués par asphyxie financières pendant que d’autres sont à l’abri du besoin. C’est tout à fait légitime de servir le pouvoir politique en place. Si non, ce sera pire. Mais, pour d’autres, ce n’est pas le cas du tout. L’Algérie aurait pu éviter autant de retard et de conflits à commencer par le terrorisme de la décennie noire qui a laissé plus de 200 000 victimes sans oublier les dégâts matériels et tous les traumatismes sociaux économiques culturels jusqu’à la division des cellules familiales qui constituent le socle de toutes évolution sociale et stabilité du pays.
Dans le fait. La presse algérienne a payé un prix très cher au côté de ses compatriotes. Militaires et tout corps de sécurité, la famille de l’éducation, tout le peuple algérien qui a été touché dans son amour propre et dignité humaine. enfants personnes agées. aucune vies n ‘a été épargné y compris les animaux. les meme prtaique colonialistes au nom de la reliogion.
« L’idéologie religieuse, a fait autant de mal aussi bien pour le peuple et la religion de l’islam. » Religion de paix et de tolérance, respecteuses des autres différences. Contre toutes les violences. Cette catégorie de religieux qui a légitimé « le harram au dépend du hallal », » L’intérêt personnel au dépend de l’intérêt général et national », » La mort au dépend de la vie », » L’argent sal au dépend du travail et l’honneteté et compétences ». Tout au profit des ennemis étrangers. Le mal des religieux a engendré autant de dégâts colossaux qui ont retardés le développement de notre pays de plus de 50 ans en arrière.
La période que l’on trouve la plus médiocre, c’est celle qui vient en 1999 qui qualifie les journalistes de « tayabate el hammam » jusqu’à l’achat des consciences, l’exploitation de l’ignorance et l’influence des plumes inestimables au détriment de l’ethique et l’intérêt du peuple. Bref. Ces différentes étapes doivent nous rappeler que le principe du journalisme, c’est d’abord d’être juste et honnête avec sois même et défendre le pays. Le droit international qui va dans l’intérêt des peuples avant tout. Autrement dit, vaut mieux faire un autre métier que le journalisme.
Chaque chose son temps, chaque cause ses hommes
Algérie Actualité, n’a pas vécu la période du multipartisme politique et médiatique. Et pourtant, c’est une référence. Son engagement pour faire valoir les idées libres et indépendante de toutes pressions et récupérations partisanes au détriment de l’intérêt national. De nos jours, on demande tout à l’Etat. On parle plus de publicité, nombre de pages et de bannières que du respect de l’éthique et la déontologie.
Sans diminuer de la valeur des autres. Bien au contraire. Algérie62, annonce officiellement de ne pas demander la publicité à l’ANEP, ni aides financières de l’Etat. Juste nous laisser travailler dans le respect de notre engagement et clause de conscience.
Notre vision des choses journalistique de la vie éphémère est différentes. Dpuis bien avant 1990. Début du terrorisme criminel. Nous avons donné autant de choses dans l’anonymat et publiquement à l’Etat Algérien. dans le silence et la solitude. Nous ne demandons et nous n’attendons rien en contrepartie.
Mais, nous demandons de nous protéger des saboteurs et clans malhonnête, injustes et mafieux qui empêchent de faire notre travail de journalistes au service du pays et peuple. Rien que le pays sans demander aucune aide financieres. Il se peut que nous nous sommes trompés dans notre vision. mais, c’est ainsi notre éduction, culture et combat de tout temps. Parceque, nous avons le sang des martyrs qui coulent dans nos veines jours et nuits. Ces martyrs nous ont libéré du joug du colonialisme. Les martyrs ont donnés leurs vies et biens pour le pays. Nous nous inspirons de ces valeurs nobles et justes qui donnent un sens à la vie et n’attendent pas tout de l’Etat. On doit doit donner et non pas attendre tout de l’Etat. L’Etat c’est nous tous. Juste nous protéger des clans malsains qui trahissent les valeurs du pays.
Chaque chose sa valeurs, chacun sa valeur
Nous avons confiance en la personne du président de la république et de tous ceux qui partagent les valeurs nobles, justes et honnête dans la transparence. Nous avons aussi le respect des autres qui ne sont pas du même ressort. C’est la raison pour laquelle, nous sentons ce changement dans le discours et dans les actes. Nous disons et nous publions ce que nous pensons dans la transparence, afin d’être nous même et non pas des gens aux doubles visages. Nous sommes conscients, humains et digne à notre appartenance.
A l’occasion, de cette journée mondiale de la presse, nous saluons et remercions à notre manière de voire les choses, tous ceux qui respectent et soutiennent la presse algérienne dans ce contexte mondial. Beaucoup de médias au niveau mondial ont honorés leurs propres persones, métiers en prenant position en faveur des causes justes et nobles que l’Algérie a défendu. L’algérie lutte et soutient à fond les causes juste et noble dans le monde à commencer par la Palestine qui lutte pour son indépendance contre l’entité sioniste depuis 1949 et le peuple sahraoui contre le colon marocain depuis 1975.
C’est justement dans ce context que nous souhaitons et nous voulons partager cette journée qui rassemble et enrichit lque la presse algérienne ne cesse de défendre. Bonne fête à tous nos confrères et consoeurs. Ensemble, nous pouvons liberer les peuples des colons barbars et injustes.
A.C