Mohamed Laagab, ministre de la communication vient de commettre l’irréparable à l’encontre de l’intelligence du peuple et journalistes en particulier en déclarant que » Pour faire le journalisme, il faut avoir un diplôme universitaire en allant jusqu’à comparaître l’incomparable entre le journalisme et la médecine », a-t-il déclaré lors d’une rencontre au sujet des médias sportifs notamment.
Nous sommes tous concernés. Ayons le courage de dire les choses en face. Dans le respect des valeurs d’autrui. Nous déplorons la situation au même titre ou pire que vous mr le ministre. Nous sommes sur le terrain. Nous sommes déçu pour tout ce qui se passe dans le monde de la presse. Nous sommes agressé par ces discours et aussi le mépris à l’égard.
Si dans un sens, Mohamed Laagab a raison de mettre le point sur la dégradation du métier du journalisme, celui des médias en général et sportif en particulier. le ministre de la communication, universitaire, ex professeur aurait fait mieux de trouver les mots et phrases justes, afin de rassembler et développer le niveau de son discours pour unir les compétences et non pas diviser et affaiblir la profession. Enfoncer le clou, ne fera que détruire les uns et les autres sur la base du diplôme universitaire pour exercer le journalisme.
On défend le métier et non pas les personnes qui le déshonore. Nous partageons votre constat. Mais, jamais le diplôme universitaire qui dégrade les métiers et les personnes. Chacun sa valeurs, principes et dimension. Les plus grands journalistes du pays et dans le monde entier sont des autodidactes. Entre autres, Kateb Yacine, algerien, n’a pas de diplôme universitaire et aucun universitaire n’a pu l’atteindre ni pourra le faire à sa place. La personnalité et l’intelligence humaine, ne dépendent pas de diplômes.
Attendez la publication de notre livre sur la presse, pour mieux vous imprégner d’avantage sur les tenants et les aboutissants de la presse nationale.
De telles déclarations d’un officiel à la tête du secteur ne pourra que récolter des résultats négatifs. Secret de polichinelle. En faisant le parallèle entre la médecine et la pratique du journalisme, surtout lorsque l’on sait qu’il y a des diplôme universitaire de complaisances, d’achats des diplômes achètes comme on achète un permis de conduire et faire provoquer des accidents mortels par la suite.
La différence est de grande taille. Nous allons, nous limiter à ces quelques lignes pour justement éviter le pire, et ne pas tomber dans le profond de la médiocrité intellectuelle des universitaires. Ceux qui ont conduit le pays à l’indépendance nationale et développement économique sociale, culturelle du pays post indépendance, ne sont pas tous des universitaire. Un peu de modestie. Soyons logique et au service du peuple et non pas des guides qui mènent vers le chaos morale, professionnelle et sociale.
C’est très facile de prendre un micro est s’adresser aux public au poste ou vous êtes. Beaucoup de ministres et présidents sont partis et se succèdent à cause de ces jugement de valeurs qui ne devront pas avoir lieu. Les faiblesses sont partout. Dans la culture, la formation, la discipline et surtout dans la précarité.
Ceux qui sont à l’origine du malheurs, sont aussi des universitaire faibles, très faibles et injustes envers eux même en grande majorites. Les auteurs de la décennie noire qui étaient à la tête du parti dissou étaient aussi des universitaires. La défaillance se situe au niveau de l’école et de l’université politique et idéologique qui forment des médiocres. Sans généraliser, heureusement qu’il y des lumières pour sauver le peu dans tous les secteurs.
Un peu de respect pour l’intelligence du peuple algerien. Un peu de respect pour ceux qui ont payé le prix tres cher au risque de leurs vies depuis la révolution algérienne. Au prix de leurs vies, visions et liberté. Avant de nous retrouver seul contre nos propres décadence intellectuelle et journalistique. Tous les postes politique sont éjectable, éphémère. Mais la voix du peuple est toujours présente à travers ses journalistes, artistes et producteurs d’idées pour dire stop. Non à la d’échéance.
Restons calme. Gardons la raison au dessus des émotions.
Un peu de respect pour l’intelligence du peuple. Tous concernés par le devoir et la responsabilité individuelle et collective qu’il soit universitaire ou pas. Pour aller de l’avant dans l’intérêt général et national, au lieu de creuser encore une fois, le fossé des division, tirons les leçons du passé. On le diras publiquement et dans la transparence totale:
Nous ne sommes pas tous des universitaire.
Nous defions ses soi disant universitaires qui stigmatisent les non universitaires. On vous invite a un débat selectif et ouvert sur le sujet qui importe plus et plus que n’importe quel temps. Nous connaissons la réalité de la presse et de l’université qui produits des bras cassés qui ne savent ni lire, ni écrire ne serait ce un CV. Encore qui ne reflichissent pas du tout.
Sans généraliser bien sûr. Si non, on vas gonfler le marché informel et on sera beaucoup mieux loti que les salaires de la misère touchés par les journalistes.
Notre site, inscrit officiellement parmi les premiers pour être dans la l’égalité des lois, n’a pas touché 1 da de la publicité officielle. Contrairement a d’autres. Nous aimons notre pays et nous le défendons au prix de notre vie et liberte. La culture de la complaisance importe très peu au pays. Autrement dit. On sera beaucoup mieux loti dans le commerce de l’industrie pizzas et cassé croûtes.
Soyons justes et honnêtes envers nous même. On souffre le martyrs dans le silence et la solitude, rien que pour vivre utile pour le pays et le peuple à part entière. Nous sommes blessé dans notre amour propre et même dans notre patriotisme depuis le 5 octobre 1988… Le diplôme universitaire n’est jamais une fin en soi. Mais, ce n’est qu’un début de longues carrière et engagement pour aller de l’avant.
Autrement dit, science, sans conscience, n’est que ruine de l’âme. Entendre de telles déclarations officielle, ça fait très mal au cœur et ça ne fait qu’aggraver les situations. Un peu de respect monsieur le ministre de la communication.Cela va à l’encontre de la constitution elle même. L’intelligence des journalistes et de l’homme, n’est pas à vendre. On peux faire la sourde oreille. Ni vue ni connue. Mais, heureusement. Notre conscience en tant que telle, ne peut pas admettre l’inadmissible à l’encontre de l’intérêt général et national.
Nos parents et grands parents avec ou sans diplômes, ont tous sacrifiés leurs vies et biens pour le pays, Ce n’est pas un papier 21×27 qui va trancher et juger notre valeur. Pour continuer à lutter journalistiquement pour l’algerie avant tout, ne réside pas dans le papier et cachet. Mais, c est dans le sang. La vie est éphémère. Le devoir de conscience et patriotisme, se transmet de génération en génération.
Nous ne sommes pas forcément de la presse sportive, mais dans l’information générale qui inclut toutes informations à valeurs ajoutées pour une meilleure prise de conscience nationale. Ce que nous avons donné pour ce pays, dépasse de très loin le document que vous citer comme référence.
Nous le disons et nous l’ecrivons dans toutes les langues algérienne. Arab et Amazigh et en français comme langue étrangère indispensables à la fois.
Nous voulons et nous demandons des resultats.
Assez d’orgueil avec vos diplômes universitaires qui se trouvent souvent sans conscience, sans productions. On consomme le produits des agriculteurs, on répare nos vehicules, bus, trains et avions aupres des techniciens sans études. On apprend des autodidactes que nous ne pourrions jamais atteindre.
Merci de nous avoir inspiré cet article qui restera dans les anales de la presse algérienne libre et indépendante. C est un cadeau que vous nous faite gratuitement. Un peu de respect aux autres catégories svp. Le diplôme universitaire, ne représente jamais le degrés la valeur réelle de l’homme. Aucun n’est parfait.
A C