Clin d’œil Par Amar CHEKAR
En panne de vision politique Ă court, moyen et long terme, deux partis politiques ont dĂ©cidĂ© de ne pas dĂ©poser leurs dossiers de candidature aux elections prĂ©sidentielle du 4 juillet 2019. La simple raison Ă©voquĂ© par l’opinion public.  » ils ne sont pas au diapason de l’évolution du peuple. chasser les chefs de partis sans exceptions des marches depuis, est une preuve irrĂ©futable. Les  partis du front El Moustakbel de Abdelaziz Belaid et Belkacem Sahli prĂ©sident de l’alliance RĂ©publicaine (ANR), ne vont aller aux prochaines Ă©lections prĂ©sidentielles pour plusieurs raisons. « Le parti el Moustakbel a dĂ©cidĂ© de ne pas dĂ©poser son dossier de candidature a cause des derniers dĂ©veloppements qu’a connu la scène politique nationale Ă savoir le mouvement hirak qui a dĂ©fiĂ© les responsables politiques ».Le communique du parti de Belaid Abdelaziz argumente par   le floue d’une situation gĂ©nĂ©rale exceptionnelle qui influence la vie politique et socioĂ©conomique du pays, fera-t-il savoir. Entre autre,  le parti El Moustakbel cite l’absence d’une rĂ©elle volontĂ© de prĂ©paration de cette phase trĂ©s importante pour le peuple. La non installation de la commission indĂ©pendante requise pour garantir la transparence et l’intĂ©gritĂ© de la PrĂ©sidentielle dans toutes ses Ă©tapes, mais aussi, il y a absence d’une rivalitĂ© politique susceptible d’imprimer la PrĂ©sidentielle d’un climat de transparence tant rĂ©clamĂ©.
Belkacem Sahli (ANR) se range du côté du Hirak
De son côté, le parti de Belkacem Sahli, ANR qui fait des louange politique a sa majesté le président à tout près depuis se retrouve du jour au lendemain changer de position pour les même raisons évoqué, alors que la que la pratique politique est liés étroitement au mouvement du peuple qui ne cesse de réclamer le départ du régime et de tous ses corollaires qui ont fait partie. Lui-même enfant du système qui s’approche au pouvoir est pris à parti aussi bien par ceux qui l’ont désigné au poste de ministre et d’un autre côté, le peuple qui ne cesse de le discréditer de son élitisme politique au double et triple jeux. Voyant qu’ils n’ont aucune chance à commencer par la collecte des signatures au départ et autres conséquences qui peuvent se dégager le jour « G », les chefs de ces deux partis, n’ont pas trouver mieux que de faire marche arrière sous prétexte que les choses ne sont pas claire pour eux pendant que les partis, associations, société civile et peuple tous unit contre le maintien du régime en injectant d’autres têtes et noms déjà rejetés depuis longtemps.
A.C