Actualisé. Epris par le devoir de conscience et le respect du métier du journalisme, j’éstime qu’il de mon devoir de citoyen et de journalsite de vous faire part de ma préoccupation sine qua none qui va dans l’interet de notre pays. L’Algérie avant tout. Le journalisme constitue un des facteurs clés pour l’émancipation, le développement de l’intelligence et valeurs nobles et justes du peuple Algérien. Je m’adresse à vous respectueusement, afin de vous exprimer mon cri de détresse à vous en tant que représentant du gouvernement et également professeur, auteur, chroniqueurs à qui je voue respect et considération depuis des décennies. Grâce au métier du journalisme, via le quotidien Le Soir d’Algérie on appris beaucoups de choses avec vous. Ce que nous avons appris. Nous le partageons avec le peuple ou nous restitutuons le capital savoir et éxpériences au peuple.
En toute modestie et respect des valeurs. Dépassée par le temps et l’évolution des médias tous supports confondues, particulièrement la presse électronique à travers cette loi qui exige un diplôme universitaire aux journalistes algériens professionnels pour lancer un journal en ligne. il est abérrant de demander un diplome universitaire pour un journaliste qui a plus de 20 ans d’expérience dans le domaine. Mieux encore, ces journalistes, ont formés et encadré des universitaires stagiaires dans les rédactions depuis. Le ministère de la communication qui a pondu cette loi qui exige un diplôme universitaire pour un travail intellectuel plus que administrative, vient de commettre une érreurs de jugement de valeurs envers un nombre indéterminés de journalistes professionnels. Ces journalistes sont reconnus pour leurs compétences et engagement journalistiques et managériale. Je ne suis pas le seul à avoir le même sentiment de déception. La seule différence. Il y a ceux s’expriment et d’autres qui se résignent à leurs douleurs et souffrance interne. Et d’autres le font dans la transparence par devoir de conscience.
Dieu a différencié les hommes des animaux par la conscience et l’intelligence. Pour votre information. Ce sont des centaines de journalistes algériens sans diplômes universitaires qui sont concernés. Encore d’autres diplômés universitaires d’autres filières à qui l’on exige l’équivalences. Et bien d’autres formés dans des écoles agréent par L’Etat. Le journalisme, n’a jamais été et ne sera jamais un métier de diplômes, mais beaucoups de curiosités, d’intelligence, de valeurs et d’engagements. Pour preuve, ce n’est pas tous les diplômés universitaires qui savent écrire et encore beaucoup plus difficile pour ceux qui ont fait le journalisme à l’université.
Au lieu de s’investir dans la formation et développer le domaine du journalisme, faciliter les agréments, aller de l’avant et promouvoir la presse en générale et électroniques en particulier qui souffre le martyrs depuis des années. Le premier site électronique algérien remonte à l’année 2007, à savoir TSA pour ne pas citer son nom. Et voilà on fait marche arrière avec cette loi, malgré toutes les promesses exprimées officiellement pour avancer. On exige des diplômes universitaires et 3 ans d’expériences pour les débutants avant de lancer un journal, même sans aucune expériences avec très peu d’expérience dans le journalismes et aucune dans la gestion. Sauf un diplôme universitaire pour avoir accès au document bleu sous forme d’autorisations pour exercer.
Le domaine du journalisme, n’est pas une affaire de diplômes universitaires. Même sans diplôme universitaires, des milliers de personnes ont fait leurs preuves chacun dans son domaine sur le plan national et international. Dans le domaine des médias, jusqu’à présent ils sont très nombreux à provoquer le changement, améliorer les situations et faire évoluer les mentalités. Les plus grands journalistes respectés de la presse écrite, radiophoniques et audiovisuel ne sont pas des universitaires. « Tout ceux-là, ne sont pas le produit de l’université, mais, des produits des écoles de la vie. »
Ils ont appris et pratiqué le journalisme sur le terrain. C’est la pratique qui constitue la base du métier et non pas forcément les diplômes. Ces journalistes et créateurs que l’on appel autodidactes, ont exercé et développé le journalisme et les métiers de manière générale. Les journalistes, pas forcément des diplômés université, ont écrit et continuent d’écrire des livres qui traitent du domaine de la presse. Contrairement à d’autres diplômés de journalisme et ils n’ont jamais écrit un article.
Avançant un chiffre de 140 documents bleu qui ont étés délivrés par le département de la direction de la communication du ministère, comme si la compétence résident dans les document et non pas dans la pratique, notamment la presse toutes rubriques confondues. Je suis parmi les dix premiers à déposer le dossier en bonne et due forme en tant que telle, et ce, après consultation de la loi relative à la presse électronique.
Partant de notre expérience et savoir faire, nous partageons ce que nous savons et jugeons utile et important pour l’intérêt général et national dans la transparence totale. Au lieu de faire dans l’autocensure pour plaire, préférable de partager ce que l’on sait, même si cela, n’engage que la personne.
En plus de l’expérience depuis plus de 20 ans dans le domaine. honnêtement, sincèrement et publiquement, Je me sens très gêné, je me sens complice de faire dans la médiocrité et la complaisance immorale en faisant faisant appel à un jeune diplômé universitaire à contre cœur, rien que pour avoir le «document bleu » que l’on délivre , alors que notre diplôme de DES, « Diplôme D’études Supérieur » en Management, n’est pas valable à leurs yeux, et par respect au métier du journalisme qui ne se base pas sur les diplômes, mais, sur l’intelligence, la production, les valeurs, l’engagement patriotique et nationaliste, algérie62, ne fera pas plaisir à l’administration qui ne prend pas en compte le travail du terrain. Pis, encore, les affaires commerciales ou l’on achetent et vendent des diplômes et agrément est une problématique. il y a quelques mois seulement, des gens proposent la vente d’agrément à 1 milliards de DA. Ce qui est indamissible à tous les niveaux. morale, professionnelle et lois.
Quitte à changer de métier et faire un autre travail même ouvrier dans un chantier que de mendier la publicité ou présenter un diplômé universitaire pour survivre et faire un travail de cautionner le néant. La valeur morale, spirituelle et journalistique doivent reprendre leurs places et respecter l’échelle des valeurs. Il y va dans l’intérêt général et national.
Comptant vous adresser une demande d’audience pour clarifier justement la situation, mais préférant que les choses se fassent dans la transparence totale et faire bénéficier d’autres de la meme préoccupation. je partage mes convictions pour aller de l’avant, je souhaiterai une audience qui pourra être un déclic pour une nouvelle dynamique et relance de toutes les idées positives et constructives qui vont dans l’intérêt général et national.
Autrement, dit, il est préfèrable l’économie de l’énergie et de temps. ayant commencé le journalisme par des contributions et des piges depuis 1989. On est en 2021. Aprés tout ce temps et engagement pour l’interêt du pays et tout en laissant de côté mes propres interêts et vie personnelle, je me sens à la croisée des chemins. Mais, puisque le devoir et le sens de la responsabilité citoyenne est partagée, je préfère développer le bon sens et cultiver l’éspoir, mettre en valeurs la culture de la solidarité, afin d’y remédier un tant sois peu et trouver à tarvers votre responsabilités, non pas à ma situation personnelle, mais pour tous les fondateurs des journaux et journalistes algériens dignes de leurs métiers avec ou sans diplomes. Un soulagement au moins pour le reste de la vie qui passe trop vite ces derniers temps et un autre avènement plus propspère pour les générations avenir.
Recevez Monsieur le ministre, l’expression de mes hautes considérations distinguées.
Amar CHEKAR
Journaliste depuis plus de 20 ans
Fondateur du journal algérie62.dz