Le dialogue entre le panel désigné par le chef de l’Etat Abdelkader Ben Salah et les représentants du Hirak entamé. Karim Younes, coordinateur du panel aura à entendre et à échanger les idées et positions qui lui permettront d’écrire un autre livre pour l’histoire du Hirak qui a ébranlé le système politique depuis le 22 février 2019. Donc, c’est déjà un sujet intéressant à l’écrivain qui a déjà une dizaine d’ouvrages à son itinéraire. Mais, cet homme de lettre qui a commi une si lourde bourde contre les journalistes qui l’on pressé en leurs balançant….. ne risque-t-il pas de commettre d’autres erreurs et fuites de responsabilité vis-à-vis du peuple ? La rencontre d’aujourd’hui, jeudi 15 août avec la délégation des étudiants de l’UGEL, dont la position est connue depuis bien avant en faveur de ceux qui gouvernent le pays depuis, n’a rien filtré comme informations pour éclairer le peuple. Dans ce cas précis, la présence des médias est plus que nécessaire pour mettre chacun devant ses responsabilités. Côté politique. Ali Benflis, lui décide officiellement de porter son choix pour l’élection présidentielle qui présente la meilleure solution pour faire sortir le pays de la crise politique selon lui . Aussi et surtout, limiter les dégâts de la crise économique qui laisse l’entreprise algérienne dans toutes ses dimensions, dans une situation perplexe devant ses engagements. Sans porter de jugement de valeurs vis-à-vis d’aucun élément, mais l’histoire nous a permet que le plus importants que le dialogue, c’est surtout de joindre l’acte à la parole. Franchement, ce dialogue me rappel celui du président déchu qui a consulté tout le monde presque pour le projet d’une nouvelle constitution qui a été adopté depuis. A moins que les choses aient changéee dans la sphère politique de ceux qui décident à la place du peuple. C’est la raison pour laquelle, la présence des médias, est encore une fois. un gage pour informer et éclairer l’opinion public national et international, notamment les amis de l’Algérie qui avance, afin d’éviter de retomber dans les même erreurs du passé de l’Algérie depuis le 3 juillet 1962. L’histoire ne pardonne pas. L’oral parte, l’écrit reste.
A.C