Doublant le nombre de marcheurs par rapport au précédent mardi, les étudiants sont sortis par milliers ce mardi 23 juillet pour revendir à la charge politique. « Nous sommes trés content du nombre d’enseignants et d’habitants qui nous réconforté dans notre démarche » a souligné Med B étudiant en science politique. Pacifique, inoffensif et trés calme, moh délégué des étudiants en 3é année économie, complète la discussion. Nous étudiants continuerons la marche jusqu’au changement du système politique corrumpu. Ce système a réduit le peuple à la pauvreté et l’injustice au quotidien, a-t-il déploré. Kenza, étudiante et déléguée affirme » Des étudiants ont lancé le fameux slogan » Casbah, Beb el Oued Imazighene » ce slogan est rejoigné par des centaines d’autres de Belouizdad qui se sont alliés au meme slogan. Ce slogan attire de plus en plus d’autres qui ne sont forcément porté dans la pronociation imazighene. mais, par solidarité et l’unité des algériens dans le respect de la différence qui compose le peuple, beaucoups d’autres étudiants Algériens des autres wilayas ont adopté. » C’est l’intéret et l’avenir de l’algérie qui nous unit dans le respect de nos différences » a affirmé Salim 22 ans. Plusieurs pancartes sont brandi toute au long dela marche, à commencer par l’image du défunt étudiant martyrs Taleb Abderrahlmane qui revient dans toutes les marche des étudiants. « restitutuer le pouvoir au peuple », « ouverture d’un dialogue sérieux avec les compétences nationales » » libérez les détenus d’opinions », » Instauration d’un Etat de droit fondé sur la justice et la justice sociale » ont étés porté depuis la place des martyrs ou le commencement de la marche jusqu’a la grande poste. Allant de la place des Martyrs, en passant l’avenue zighout Yopucef, Square, la rue Larbi Ben M’hidi, l’Avenue Pasteur et le Boulevard Colonel Amirouche pour arriver à la Place Maurice Audin. Le départ du Gouvernement Bedoui premier ministre, Gaid Salah, sont dépassé par les évenement, ont ils souligné, toute en insistant sur l’application de l’article 7 de la Constitution qui donne le pouvoir au pouvoir au peuple. » A moins qu’ils veulent changer aussi une autre constitution en leur faveur au lieu du peuple » ont ils clamé ironiquement. Non convaincu des promesses qui sont faite et autres action d’emprisonnement, les étudiants ont perdu toute confiance dans le système actuel. » Tant que la issaba et toujours présente, tant que les 2 B qui restent sont en place, nous ne voterons pas et nous ne pouvons cautionner les résulats quelqu’ils soient, ont avancé plusieurs étudiants à la fois. Dénonçant la présence des infiltrés, afin de casser le mouvement des étudiants qui sortent pour la bonne cause du peuple, les étudiants n’ont pas manqué de révéler le secret. « nous donnerons les noms et leurs photos, afin que tout le monde les connaitra », ont ils averti.
A.C