La grande famille de la presse algérienne, salue la décision du président de la République qui s’engage à redonner un tant sois peu, la place qui revient au quatrieme pouvoir, qui jusqu’a présent continue de faire tout, sauf le journalisme au sens noble du terme. N’a-t-on pas dit depuis la création de ce métier noble il y a plus de 150 ans, que » Le journalisme, s’interesse aux train qui arrivent en retard ?
Néamoins, les mesures qui sont prises par le président de la république qui visent surtout l’allègement du poids des charges financieres et autre projet de la construction de la cité des médias, doivent êtres suivies par le sens du devoir et la responsabilité des médias, comme locomotive du développement national qui touche à tout les domaines d’activités politiques, économiques, sociale et culturelle.
Dire que les médias sont au top des attentes, c’est vraiment faux. il suffit de communiquer et d’écouter le peuple au quotidien, pour montrer nos défauts et points faibles surtout en matière de dossiers, des enquêtes, des reportages, entretiens qui sont abscents.
Tous le monde presque, se contente de reprendre les dépêches de l’agence APS pour remplire les pages ou alimenter nos sites électroniques. Ce qui est contre productif à la longue. soyons logique et objectifs. soyons honnetes , justes et dignes de notre métier.
Les journalistes, pas tous heureusement, sont devenus de simples ouvriers qui doivent se contenter de couvrirent les évenements dans un etat d’ésprit de prudence, de peur de dire les choses en face et attendre le salaires mensuel.
Ce n’est pas du tout ce que nous avons appris et produits dans les années d’Or. Les années d’Or, c’est surtout lorsque on avaient, Algérie Actualité, La Nation pour ne citer que deux titres qui ont marqués le lectorat algérien.
On étais plus libre, plus courageux et plus engagé dans les temps de la dictature que dans le temps de la démocratie , entre guillemet ou chacun tire la couverture de son côté en plaçant les intérêts personnels au dessus des l’intéret génarl et national.
Les gens son devenus des millionnaires et même des milliardaires au détriment de ceux qui font les journaux et l’actualité national. Il y a des situations, ou on a vu et entendus que des chauffeurs et des femmes de ménages sont mieux payés et consisdéré que les journalistes.
Secret de polichinelle. Il n’ y a pas que cela. Les journalistes sont devenus des machines qui produisent beaucoups plus la quantité que la qualité, rien que pour remplir les journaux et satisfaire le chef.
Non, ce n’est pas ça le journalisme. Actuellemen le journaliste fait beaucoup plus de l’autocensure ce qui est pire que la censure rien que pour éviter les conflits qui vont jusqu’au licenciements abusifs.
Non, Messieurs, les choses doivent changer et tirer la leçon du passé. Personne ne détient toute les vérités. sauf les journalists qui sont sur le terrain qui ont des choses à dire et écrire pour justement attiter l’attention des pouvoirs publiques concernés sur des situations inadmissibles, immoral, malhonnêtes et injustes et dégradants sur tous les plans.
Le président de la république Abelmadjid Tebboune, est conscient de tout cela. mais, comme dit le proverbe « Une hirndelle, ne fait pas le printemps ».
L’algérie a besoin de tous ses enfants conscients, libres et engagés pour dénoncer la corruption, l’injustice ou » la Hogra » pour reprendre le langage du peuple.
Le président de la République Abdelmadjid Tebboune, est le seul premier magistrat du pays depuis 1962 qui a rassemblé les journalistes algériens et a accorde des rencontres mensuel.
Cette révolution médiatique et démocratique, ne doit pas être l’apanage du président de la République lui seul, mais aussi, de tous les algériens dignes de leurs patrie algérienne.
Autrement dit, vaux mieux faire un autre métier que s’introduire rien que pour de l’argent à n’importe quel prix. L’argent sale, ne rime pas avec le métier du journalisme au sens noble. Chacun son métier et les vaches sont bien gardé.
Algerie62, n’a pas eu de prix, tel que d’autres titres. Parceque, on veux être nous même. C est a dire faire notre travail comme il se doit. Parceque, faute de moyens humains et financiers pour aller de l’avant. Et même si on étaient primé. On ne seras pas content. Pour la simple raison. L’échelle des valeurs et tellement bouleversée, que nous ne savons plus qui est qui. Plus d’intrus et d’universitaires qui ont des diplômes que de savoir, de cultures et d’engagements envers la patrie algérienne. C’est un cri du cœur pour donner à chaque chose sa valeurs réelle.
C’est pour toute ces raisons et causes que les journalistes quittent le pays ou changent de métiers pour fuire la précarité. Sans liberté d’expression et l’éthique journalistiques. On ne peut pas aller de l’avant. Voila ou réside le secret des métiers, du métier que nous exerçons depuis plus de 30 ans. Malgré tout, on fait de notre pour mieux pour relever les défis et se distinguer des autre.
Ce n’est pas facile de vivre et travailler libre et indépendant de toutes pressions et influence claniques.C est un parcours de combattant que l’on mène depuis l’ouverture des médias depuis les années 1990.
Dieu merci. Nous avons fait et partagées ce que nous savons et nous pouvons et nous continuons à rester nous même. On travaille pour le drapeau et nous sommes fier de ce sacrifice. Nous avons une lourde dette morale envers les martyrs de l’indépendance nationale et envers toutes les victimes du terrorisme criminel de la décennie noire. » Avant, il y a avait un ou quelques mouchards qui nous informe. Maintenant, ils sont nombreux qui ne cherchent que monter au détriment des valeurs. beaucoup de mouchards et nous cherchons des hommes honnêtes et dignes de la patrie pour travailler et aller ensemble pour le bien du pays » dixite un ancien journaliste et cadre du ministère de l’industrie.
Conscience à l’aise. On continue dans la voie des bonhomme qui font leurs chemins. Doucement,mais sûrement. La vie est un combat éternel. Chacun est responsable de ses actes devant sa propre conscience, devant la loi et devant Dieu éternel.
A.C