Six pays à leurs tete les Etats Unis d’Amérique USA, la France,le Royaume-Uni, l’Italie, l’Egypte et les Emirats Arabe Unis, ont affirmé leur volonté de donner une nouvelle impulsion à la médiation des Nations unies, qui a pour objectif de promouvoir la mise en place d’un gouvernement de transition qui représentera tous les antagonistes Libyens. « Nous devons donner une nouvelle impulsion à la médiation des Nations unies qui a pour objectif de promouvoir la mise en place d’un gouvernement de transition représentant tous les Libyens » ont ils déclaré d’un commun accord afin de préparer le terrain pour la tenue des élections législatives et présidentielles crédibles. la démarche de médiation vise à permettre une répartition équitable des ressources et à faire progresser la réunification de la Banque centrale de Libye et d’autres institutions souveraines libyennes, ont soutenu ces pays dans une déclaration conjointe publiée mardi soir par le Quai d’Orsay. Réitérant leur vive préoccupation face aux hostilités en cours à Tripoli, ces pays qui peuvent changer la donne politique, sécuritaire et économique de la Libye, ont appelé à une désescalade immédiate et à la cessation des combats actuels. ils ont demandé instamment le retour rapide au processus politique sous les auspices des Nations unies. Il ne saurait y avoir de solution militaire en Libye, ont-ils affirmé. Les conséquences de violence guérriere a déjà coûté la vie à près de 1100 personnes et un déplacement de plus de 100.000 personnes. ces pays ont insisté sur la nécéssaire contribution pour accroître l’urgence humanitaire en faveur du peuple qui souffre depuis le déclenchement des hostilités. Les gouvernements de ces pays, ont souligné que les affrontements en cours, menacent la stabilité du secteur de l’énergie Libyen et aggravent de plus en plus les drames humains liés aux migrations en Méditerranée.
A.C