Secret de polichinelle. Ils sont des dizaines de nourissons, bébés et enfants de moins 10 ans à être exploités quotidiennement dans les grands boulevards d’Alger depuis des décennies.
Ils sont élevés et grandissent dans les Boulevard Amirouch, Rue Didouche Mourad, Larbi Ben M’hidi, Abane Ramdhane, la rue Hassiba Benbouali, les placette publiques et même dans des pompes à essence et plus. Il suffit de faire un tour a Alger au moins une fois par semaine pour voire le mouvement des criminels qui exploitent des jeunes filles et femmes entourés parfois jusqu’à 4 et 5 bébés pour faire la charité au détriment des vies humaines innocentes au profit de réseaux obscures qui travaillent à ciel ouvert.
Algerie62, l’a vu et vecu a ses depend en prenant le risque de se faire tabasser par des individus, rien que pour faire éclater une des vérités des plus touchantes à la rue Didouche Mourad. » C’est un bébé de deux mois » a répondue une jeune fille que nous avons interrogée sur les causes de sa situation, avant qu’un jeune gaillard vient nous intimider sur notre travail sans qu’il sache que nous sommes journaliste en quête de vérité et d’intérêt général et national avant tout.
Il s’agit finalement de réseaux criminels qui gèrent les jeunes filles et femmes soumises qui exploitent des bébés et nourrissons pour attirer les âmes charitables et de quelle manière. Malgré toutes les batteries des lois qui sont votées pour protéger les enfants de tous les risques et danger de la vie quotidienne.
Des jeunes filles accompagnées des bébés et enfants de 1 à 5 ans et plus qui sont suivi et contrôlés de loins par leurs recruteurs pour déclencher des alertes en cas de soupçons ou opérations venant de leurs entourage et plus.
» Nous sommes traités comme des animaux dans les centre d’accueils. C’est la raison pour laquelle, les SDF préfèrent la rue, malgré le froid et tout les risques » souligne une des dames qui s’exprime sur le sujet.
Chemin faisant, il s’agit de tout un réseaux spécialisé dans la drogue et des proxénètes qui mènent leurs sale besognes de manière reflichie et qui activent au grand jour et à ciel ouvert a Alger.
Rien que croiser les regards de tous ces enfants et bébés qui traînent toutes la journée et à longueurs d’années sur les trottoirs, ça donne la chaire de poule.
Migration Africaine, Syrienne ou Algérienne, chacun son histoire, vivent et grandissent sous les regards impuissants d’agir ou réagir devant le fait accompli. La société civile ne cesse d’interroger sa propre conscience sur les conséquences de tout ces enfants et bébés innocents exploités par des adultes sans cœur et sans moralité au point de normaliser l’anormalité des choses.
A.C