Mettant en place un dispositif sécuritaire de plus en plus répressif, une vingtaine d’arrestations ont étés enregistrés, a-t-on appris auprès de sources concordantes. Pour faire face aux grandes foules, la DGSN, a déployée de nouvelles pratiques dissuasives pour réduire l’espace des marcheurs, limiter l’accès aux placettes, comme la place Audin qui a été quadrillé par des policiers en uniformes munit de casques et matraques. La veille de la marche de vendredi 21, un nombre impressionnant de fourgons de polices stationnés sur les trottoirs comme d’habitude, afin d’empêcher les citoyens de prendre place. Des poteaux et lampadaires, également les murs de bordures des escaliers de la station d’Alger centre, sont mouillés et tachés de gazoile et autres produits liquides collant pour empêcher les citoyens de prendre place et d’un autre coter, éviter aux jeunes de monter sur les poteaux pour y mettre les drapeaux en haut. Très peu de drapeaux algériens ont étés brandit et aucun drapeau Amazigh n’a été perçu toute au long des rues et boulevards. Ce qui été considéré comme des mouvements de protestations populaires, sont devenue avec la force du temps, le plaisir de sortir pour animer et participer au mouvement hirak qui a honoré l’image du pays en faisant parler la face inconnue ou caché de l’Algérie pacifique, humaine et fraternelle dans le monde entier.
A.C