Les experts participant à la Conférence internationale Justice pour le peuple palestinien, tenue jeudi à Alger, ont mis en avant plusieurs mécanismes juridiques à même de poursuivre l’entité sioniste devant les Tribunaux internationaux, pour son agression contre la bande de Ghaza, appelant à la fin de la politique de deux poids, deux mesures dans le traitement des questions internationales.
Les interventions de la séance matinale de la Conférence internationale qui se tient au Centre international de Conférences Abdellatif Rahal, ont porté sur les graves violations commises par les dirigeants de l’occupant sioniste dans la bande de Ghaza, le rôle du Procureur général de la CPI, les mécanismes disponibles pour renvoyer le cas palestinien, les mécanismes de saisine des Organisations internationales pour les violations graves commises contre le peuple palestinien, et la CPI, comparaison entre les traitements réservés à la question palestinienne et à la question ukrainienne.
Dans leurs interventions, les experts ont passé en revue les thèmes des ateliers de travail de la veille sur les mécanismes de recours à la CPI et les obstacles qui entravent ce processus, affirmant l’existence de plusieurs mécanismes juridiques qui permettent de poursuivre l’entité sioniste pour ses crimes.
Les experts ont, également, abordé les options alternatives ou parallèles de la CPI, dont la saisine des organisations internationales de défense des droits de l’homme, gouvernementales ou non gouvernementales, notamment s’agissant des enfants, des femmes, des équipes médicales et des équipes de secours pris pour cible, ce qui permet de saisir les organisations en charge de l’enfance, Amnesty International et le Conseil des droits de l’homme. Ils ont, enfin, rappelé l’existence de plusieurs mécanismes juridiques pour poursuivre l’entité sioniste, ajoutant qu’ il reste à savoir comment mettre en œuvre ces mécanismes et obtenir les résultats escomptés pour répondre aux grandes aspirations du peuple palestinien.
F.F