Au cours de la semaine de haut niveau de la 80e session de l’Assemblée générale de l’ONU, des voix se sont succédé du haut de la tribune de l’Organisation des Nations unies pour défendre les droits légitimes du peuple sahraoui dont principalement son droit à l’autodétermination.
Le ministre des Affaires étrangères du Venezuela, Yvan Gil Pinto réaffirme le soutien de son pays aux revendications légitimes du peuple sahraoui, appelant au respect du droit international, à l’occasion de son allocution devant les membres de l’Assemblée générale de l’ONU.
Idem pour le ministre des Affaires étrangères du Zimbabwe, Amon Murwira qui exprime, une nouvelle fois, la position de son pays en faveur des droits des peuples palestinien et sahraoui, faisant part de la solidarité constante de son pays avec ces deux peuples dans leur quête légitime de liberté.
Pour sa part, le Premier ministre du Belize, Johny Briceno a mis l’accent sur « la nécessité de mettre un terme à la privation du peuple sahraoui de son droit à l’autodétermination et à la liberté », affirmant que « tous les pays doivent jouir du droit de choisir leur propre voie ».
Les dirigeants de la Namibie, d’Afrique du Sud et d’Espagne ont exprimé, lors de leurs interventions à l’Assemblée générale, leur soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l’autodétermination, notant la nécessité de résoudre le conflit au Sahara occidental dans le respect du droit international et des résolutions de l’ONU. Ils ont également fait part de leur volonté de continuer à soutenir les efforts déployés par l’ONU en vue de renforcer la paix et la sécurité internationales.
Rédaction Internationale