La marche vendredi17 bat son plein à Alger. Venus des quatre coins du pays et ce, malgré les nombreux barrages qui sont pointé aux alentours de la capitale depuis Reghaia afin de limiter l’afflux qui fait peur aux tenants du système corrompu en place, la détermination du peuple Algérien pour le changement du système est signé par les algériens des 48 wilayas. Avec un peu plus de manifestants par rapport au vendredi16, l’engagement définitif du peuple à prendre son avenir est destin entre ses, s’accentue de plus en plus vers la clarification de la revendication politique qui consiste avant tout, à changer le pouvoir militaire avec un pouvoir civile élu dans les règles de la démocratie universellement connu et adopté. « Je suis venu tôt le matin pour éviter les barrage. J’ai marché durant tous les vendredis depuis le 22 février 2019. Je m’organise de manière à marcher dans plusieurs wilayas du pays, afin de marquer mon attachement et solidarité avec tous les algériens », affirme Fodil sadouki, enseignant à Bejaia. Qualifié de pèlerinage, la marche, les regroupements sous formes de focus, les banderoles, pancarte et les drapeaux Algériens et Amazighes, sont portés dans les cœurs des marcheurs sans distinction de couleurs, de langue e de religion. Les noms est photos des martyrs de l’indépendance nationale, dont, Abane Ramadhan, Larbi Ben m’hidi, Amirouche, si l’houes, Mohamed Boudiaf et bien encore celles Matoub Lounes, Kamel eddinefekhar et bien d’autres, sont brandit depuis les toutes premières marches de vendredis. D’autres catégorie qui vont dans le sens contraire des valeurs et revendications du peuple, sont porté sous forme de caricatures dégradante pour les responsables politiques déchut, à commencer par Ahmed Ouyahya, Abdelmalek Sellal, Bensalah, Gaid, Amara, Djamel Ould Abbas, Said Bouteflika et bien d’autres figures corrompus rejetées depuis.
A.C