» Cela se passe dans un centre culturel à la rue Harriched alger centre en particulier et un peu partout dans les cités et quartiers livrés à eux même. La délinquance et le tapage nocturne est un phénomène qui revient souvent durant les saisons estivales », déplore Said M, qui se réveille subitement à 3h00 du matin sous le bruit d’un délinquant errant sous la drogue ou boisson alcoolisée. Ce citoyen ajoute avec un état d’esprit révolté » Le hic dans tout ça. personne n’ose prendre le téléphone pour signaler les dépassements auprès des commissariats de proximités, afin de stopper le mal et avertir au moins les responsables concernés des tapages nocturnes », regrette t’il. Dans un autre aspect qui frappe la psychologie sociale et culturelle et juridique argumentés à la fois. « Malgré l’existence de lois qui interdisent ce genre de dépassement, tres peu de de personnes reagissent pour dénoncer le bruit nocturne. On est tous complice par notre silence peur de faire face aux situations qui dérangent. Les gens, les familles les travailleurs se reposent la nuit pour être dans de bonne situations morale et physique chez eux et le lendemain. Des personnes en état d’ivresse ou sous l’effet de la drogue, arrivent jusqu’à briser les vitres des véhicules en stationnement et vehicules des magasins déplore t-on. La question se pose d’elle-même. A qui la faute ? Est ce aux perturbateurs eux même ou aux citoyens qui ne réagissent pas devant les différents tapages nocturnes? Tout le mal et là.
SVF