Quelques mots seulement pour cerner l’engagement du ministre de la communication pour forcer la renaissance du quatrième pouvoir qui a été relégué du 4ème au 5é pouvoir. Il y a quelques années les journalistes ont acceptés la dégradation vers la cinquième classe. Cela s’est passé il y a quelques années à la bibliothèque nationale El Hamma, ou l’on a assisté à contre cœur à ce pseudo séminaire conduit par un système politique corrompu et complice de tous les malheurs.
Ce n’est pas anodin de voire des responsables irresponsables qui ont tout fait pour étouffer et acheté les médias en faisant de la liberté d’expression « un sujet tabou au niveau des rédactions », alors que c’est le contraire qui devait se faire. C’est a dire, encourager et motiver la liberté d’expression. Pour peu que l’on soit dans les règles et la noblesse de ce métier qui n’est pas donnée pour tous. Même si l’on est docteur D’état. Le plus diplômé du monde. Le respect de l’éthique, la déontologie, l’honnêteté, les valeurs morales, humaines, l’engagement pour l’intérêt général et national, la culture générale, la défense des intéret du pays, la promotion des valeurs nobles national et universel, ne sont que quelques notes que l’on doit avoir dans la pratique journalistiques quotidienne. Si non, vaut mieux faire un autre métier pour éviter le mal au pays.
Les grands et les plus célèbre journalistes engagés dans tous les temps ou depuis la naissance du journalisme en 1631 sous Louis XIII, n’ont pas suivi forcément des formations universitaires ou académique pour s’affirmer et porter la voix et les causes de leurs peuples au plus haut niveau mondial.
Tout le monde peut apprendre les Cinque règles de la rédaction d’un article à savoir : Qui ? Quoi ? Ou? Quand et Pourquoi ? sans oublier la 6é question. Comment ?
Le plus grand travail qui reste faire, c’est dans la pratique ou l’on fait face à la réalité et au débat publique. Poser des questions justes et pertinente qui font tourner la tête aux adversaires. On ne vas pas dans un forum ou une conférence pour rapporter les dires des uns est des autres, mais aussi et surtout poser des questions pour avoir des réponses claire pour éclairer l’opinion publique sans crainte et dans le respect d’autrui. Voila ou réside le véritable travail du journalisme au sens noble du termes.
Avec l’arrivée de l’IA, la 5G, le développement vertigineux du monde numérique ou l’on active face aux fakes news et contre toutes les attaques cybernétiques de toutes formes, à toutes heure et dans n’importe quel endroit, on doit être formé,soutenus et protégé de toutes influences négatives.
Lorsque on vois le salaire d’un chauffeur, d’un agent, beaucoup mieux que celui d’un journaliste professionnel de plus de 20 ans, que peut on attendre au retour ?
Chemin faisant. Dans la transparence. La formation des journalistes est un bon début. Elle doit passer également avec la qualité de l’encadrement et l’environnement professionnel qui entoure le travail des journalistes.
En quelques lignes. Nous ne sommes pas dans un amphi pour donner des cours. Mais, tout simplement, on partage des expériences et un savoir faire inestimable, afin de contribuer un temps sois peu à l’éveil des consciences à tous les niveaux.
Il y va de l’intéret général et national avant tout. Autrement dit, on peut garder son énergie, surtout lorsqu’on a le tournis a cause de toutes les pressions visibles et invisibles qui pressent la presse. Un adage dit: » La liberté d’expression, commence dans les rédactions ».
A.C