Enterré ce samedi quelques part en algérie, plus précisement dans un des cimtières populaires à Béjaia, Djoudi Attoumi, ancien secrétaire du colonel Amirouche qui a été chargé de la sécurité du Congrès de la Soumam, le 20 août 1956 à Ouzellaguen, dans la vallée de la Soummam nous quitte des suites des complications de la pandémie du coronavirus à l’hôpital Khelil Amrane à Béjaia.
Léguant une dizaine d’ouvrage sur la révolution algérienne 1954-1962 qui constitue une source d’inspiration de patriotisme et du nationalisme sincère et honnête sans égale, les générations post indépendance doivent justement lires et découvrirent ses ouvrages, afin de mieux préparer et construire l’avenir du pays sur des bases justes, libres et indépendantes telles que voulues et défendus par 1.5 millions de martyrs. Tous unit pour l’algérie.
Le contenus des de Djoudi Attoumi, natif de sidi Aich, portent tous sur la révolution algérienne. Ces témoignages ne sont pas forcéments des secrets d’états, mais, des vérités, des réalités qui sont vécues et relatées fidèlement. Aux lecteurs et chercheurs avides d’apprendre et connaître les dessous d’une guerre sans pitiée. Cette guerre contre le colon franaçis était au moins bien ciblées. C’est une guerre pour la liberté, l’indépendance et l’intégrité du territoire sous l’emblème nationale, soutenues par la quasi majorité des pays dans le monde.
Les martyrs, ce sont nos frères, Sœurs, nos enfants, nos parents, grands-parents des voisins. Même des milliers de citoyens et des centaines de soldats français en plein guerre, se sont ralliés à la cause noble et juste du peuple algérien, à commencer par Maurice Audin, Henry Maillot, Docteur Pierre Chaulé, médecin de Abane Ramdhane en personne qui a bien rassemblé les algériens depuis pour la même cause.
Ces martyrs qui ont sacrifiés leurs vies et biens contre le colonialisme français de 132 ans, pour l’Algérie, partagent tous des valeurs universellement défendus et promus au dela des frontières. Liberté, Indépendance, dignité, unités, solidarité, fratenités.
C’est justement, le moudjahid attoumi qui rappelle toutes les scènes et souffrances du peuple algérien en défiant et disant ouvertement non au colonialisme et l’exploitation du peuple que Djoudi Atoumi, Officier de l’Armée de Libération Nationale ALN a témoigné.
Il a consacré sa vie durant et après la révolution algérienne pour l’unité et la solidarité continue. Faite au nom du peuple Algérien, la déclaration du 1e novembre 1954 est un testamment bien avant le jour « J ». Le colonialisme français quitte le pays à contre cœur, le 5 juillet 1962. Ce qui s’est passé aprés, C’est une autre histoire, faite de conlit d’interêt et de pouvoirs qui suit pratiquement plusieurs situations de guerres.
Ceci dit. Heureux les martyrs morts aux champs d’honneurs bien avant l’indépendance. heureux les moudjahidines qui sont restés fidèles à la mémoire de leurs sacrifice pour l’Algérie Algérienne dans toute ses dimensions historiques et contemporaines. Heureux les hommes honnêtes et justes.
Inscrit en lettre d’Or, le nom et prénom Djoudi Attoumi, devra rappeler le devoir et les responsabilités historiques et citoyennes à conjuguer au trois temps essentiels. Passé, Présent et Futur… Paix à ton âme. A dieu nous appartenons, à lui nous retournons.
Rédaction algerie62