Loin de toutes esprit de complaisances, la journée du mardi 19 novembre 2024 est marquée par l’installation des nouveaux ministres dans leurs postes et le renouvellement de la confiance pour d’autres qui restent dans leurs anciens postes de ministres. Le président de la république Abdelmadjid Tebboune est ses conseillers, ont pratiquement prit tout le temps nécessaire pour trouver les meilleures compétences de l’heure, afin de continuer de concrétiser le programme du développement économique et social pour le prochain quinquina 2024-2029. Mais, l’Algérien ne s’arrête pas aux quinquinas. La démographie galopante exige une vision de développement stratégiques au niveau local, national, régional, continental et à l’international.
Secret de polichinelle. Il n’y a pas un seul ministre qui n’a pas utiliser le mot « confiance », afin de remercier le président de la République pour toutes ses promotions qui n’ont pas été faite pour les beaux yeux de chacun ou de la région de X et Y, mais surtout pour les compétences et les résultats obtenus à travers l’exercice de leurs fonctions chacun dans son domaine.
Hors tout cela, le sens de la responsabilité d’un homme d’Etat se défini en termes de qualités, honnêteté et rigueur pour assurer l’évolution continue de la gestion des affaires publiques, afin de garantir justement la stabilité, la paix sociale et le développement du pays dans tous les secteurs. On sait bien que la plupart du temps, chacun préfère travailler avec sa propre équipe choisie et sélectionnée selon des critères bien définie et propre à chacun. Justement, pour aller de l’avant, il est plus que nécessaire de développer toute un environnement interne et externe favorable au développement à court, moyen et longs termes.
Au-delà de toutes les considérations secondaires, un responsable digne de son nom et responsabilités à tous les niveaux et pas seulement au niveau des postes politiques occupés, il y a toute une équipe derrière pour rattraper les retards et corriger les défaillances de toutes tailles.
Le développement du numérique est un axe prioritaire qui touches les secteurs. Cet objectif qui n’est pas encore atteint par un grand nombre de ministères pour ne pas dire tous les secteurs, mérite non pas des réunions, mais des engagements avec ou sans réunions pour relever ce défi du siècle. Il suffit de valoriser les compétences algériennes dans tous les domaines pour rattraper le temps perdu et réaliser d’autres programmes de développement. La Planification des programmes doit être à l’ordre du jour de tout le gouvernement, et ce, même si on n’a pas créé ministère dans ce sens. Nous vous prions au nom de toutes les bonnes volontés d’essayer de comprendre les situations au lieux de porter des jugements de valeurs. Gouverner, c’est prévoir.
A.C