« Supprimez l’enregistrement. »Mobile Ndlr ». Effacer toutes les notes que vous avez prises. Annuler tout.», cette déclaration émane d’un responsable de la formation qui nous a reçu dans son bureau dans un esprit ouvert et très enthousiaste pour développer le sujet de la formation. On a vu en lui une compétence a promouvoir qui se retrouve subitement choqué par la note. Quelques temps avant, le responsable a été appelé pour l’informer sur la note d’interdiction de toute déclaration à la presse. Muni de document, la scène se tourne d’un moment à l’autre à une pièce de théatre ou l’on vois et entend tout.
Ne sachant plus à quel sain se vouer, notre interlocuteur trés respectable ajoute « Désolé. Je suis doublement choqué. Je m’excuse pour le désagrément», nous a-t-il demandé respectueusement. Nous étions choqué tous les deux. Pour éviter les surprises, Il serait beaucoup plus important de l’informer, afficher la note bien avant, au lieu de laisser des responsables et compétences dans l’ignorance par rapport aux document. voila, d’autres preuve à l’appuie qui montre toutes les faiblesses et retards de l’administration par rapport à la réalité. Surtout que l’information est un droit constitutionnelle et non pas un service à rendre à l’opinion public, à la tutelle via la presse qui ne fait que son travail et encore.
Cela s’est passé dans un établissement de formation public, CCI Mezghena, dépendant de la chambre du commerce et d’industrie. Le devoir interpelle la conscience de chacun sur un Etat de fait qui ne devra pas avoir lieu, d’autant plus que la promotion de la formation est un devoir et une responsabilité partagée à tous les niveaux. Et comme, l’on mélange tout au lieu de faire la part des choses et voilà le résultat. Au lieu d’avancer on recule avec des notes et des instructions tous azimuts qui ne servent ni les établissements, ni les institutions ni le pays.
Chose que l’on ne sait pas que la communication, la formation, sont la base de toutes stabilité, évolutions et développement. Dur très Dur le métier du journalisme. Surtout dans cette conjoncture politique, économique, sociale et Culturelle ou la confiance fait vraiment défaut. De notre part, bien que notre déplacement envers vous y va dans l’intérêt général et national.
Ce genre de notes et d’instructions ministérielles sont bien dépassées par l’évolution du temps et moyens de communications et d’informations. Ce genre de notes et d’instructions, ne rendent pas service au gouvernement qui veut justement aller de l’avant. L’on s’excuse de vous solliciter pour votre propre intérêt d’abord. Il y a bien et beaucoup d’autres bien formés pour cela et partagent l’information bonnement et dignement. Qui n’avance pas recule. La formation se trouve à la base d’évolution et prospérité économiques, sociales et culturelles. Sauf que l’enrigistrement est supprimé sur place. les notes sont détruites sur place.mais, l’information ne peut en aucun cas enfermés dans une note qui va à l’encontre de l’exigence.
F.F