Nous avons beau chercher une des citations du président Américain Abraham Lincolin ou du Britannique Winston Churchill pour étayer notre article ou papier « pour reprendre notre jargon», mais, nous avons décidé en dernier, la mise en valeurs des valeurs algérienne avant tout à travers cette déclaration d’un ministre qui a dit dans une conférence à Bouira:
« Je veux lire et entendre des informations critiques pour attirer notre attention sur ce qui ne vas pas, afin de réagir à temps dans l’intérêt général et national. », et d’ajouter « On veut travailler et développer le pays avec des médias qui rapportent la réalité. Nous Informer sur les problèmes posés sur le terrain auprès des citoyens et non pas qui disent tout vas bien, alors que ce n’est pas le cas. En réalité, Ils font l’impasse sur réalité. », » Cela ne règle pas les problèmes du pays. Bien au contraire…», déclaration de feu ministre de la poste et télécommunication Moussa Ben Hammadi.
Pour vue que ce soit la vérité des choses et dans le respect de l’éthique et de la déontologie. Voila ou se situe réellement la pratique, le devoir et la responsabilité des médias avec S au majuscules. Pour vue que ce soit dans l’intérêt général et national. Cette déclaration de feu ministre Moussa Ben Hammadi, que nous avons noté à l’occasion de sa visite de travail à Bouira, est resté dans la conscience de tous ceux qui ont assisté à cette rencontre avec la presse.
Il faut le dire sans ambages et sans complaisance. La sortie du ministre de la communication Mohamed Meziane, ne peut être que saluée. C’est une première dans les anales de la presse nationale. A l’image de ce que le président de la république Abdelmadjid Tebboune qui a inscrit les rencontres annuels avec des représentants des médias pour la première fois depuis l’indépendance nationale le 5 Juillet 1962.
Justement, algérie62, qui porte des valeurs des martyrs de l’indépendance nationale et le respect de la mémoire de tous journalistes algériens victimes de la décennie noire, ne peut pas être autrement que dire la vérité au peuple, malgré les pressions au point d’entendre des choses terribles et inadmissibles. » On ne doit pas écrire sur la cherté des prix des marchés« , a-t-on entendu dans le quotidien. A part leurs auteurs, personnes ne peut confirmer ou infirmer l’information. Les signatures respectueuses des valeurs nobles, ne sont pas des objets commerciales. l’engagement et le courage de faire face aux néants, sont à dénoncer. Si non, vaux mieux faire un autre métier que le journalisme. Autant de fakes news qui nuisent à l’opinion publique.
De nos jours, le devoir et la responsabilité des médias reste le même. Sauf qu’il s’agit d’un autre combat contre le mal qui frappe le pays. Le combat permanents contre la désinformation, les attaques sous toutes leurs formes. Le combat de la lutte contre la drogue, le laxisme, la continuité de la lutte contre le terrorisme au côté de l’Armée Nationale Populaire et de toutes les forces saines qui mènent le même combat. La lutte contre la corruption sous toutes ses formes.
Renforcer nos forces et compétences et corriger nos faiblesses
Notre pays a payé un prix très lourds en prenant des positions politiques, diplomatiques et économiques pour assurer sa souveraineté et rester fidèle aux causes justes de la Palestine et du Sahara Occidental. La prochaine et dernière rencontre régionale qui aura lieu lundi 28 avril, devra marquer un tournant décisif pour redynamiser la grande famille algérienne pour justement donner à chaque choses, sa juste valeurs morale, humaine, citoyenne et patriotique. Autrement dit, le rôle et la responsabilité des médias y va de la prise de conscience permanente pour relever les défis actuel et avenir.
Et pour revenir à ces belles rencontres, l’initiative a été déjà prise par un des responsables des médias, Mme Soumeya Chaib, directrice des médias qui a étée nommée au poste par deux décrets présidentielles, avant qu’elle soit écartée dans des conditions floues et confuses en 2021. Un véritable choc qui a étée vécu en interne et à l’extérieure au ministère de la communication, surtout qu’elle a étée nommée par deux décret présidentielles.
Dès lors, placer l’intérêt général et national au dessus de toute considération secondaire ou personnelle, est une condition sine qua none pour honorer la mémoire des martyrs et de toutes les victimes de la décennie noire. Plus que n’importe quel autre temps. Le contexte politique, économique internationale, est une raison de plus pour en parler et renforcer les rencontres et le rapprochement entre toutes les forces vives et sincères des quatre du pays. Tous les algériens ou qu’ils soient à travers le monde, afin d’assurer la stabilité et le développement de l’Algérie avant tout. » Si nous venons à mourir, défendez nos mémoires« , cette citation de Didouche Mourad, un des chefs de la révolution algérienne, devra être une des références clés pour nos pensées et actions à longueur des années et de la vie.
A.C