« Les préparatifs des élections locales APC, Wilayas et législatives auront lieu à la date habituelle l’année prochaine 2026. La loi interdit toujours l’utilisation de l’argent pour l’achat des voix. Les coupables seront sanctionnés. L’argent sale à pollué l’activité politiques au sein des assemblées. Le choix des électeurs sera respecté », a déclaré le président de la République, lors de sa rencontre avec les représentants des médias.
Toute en évoquant la difficulté de rassembler la classe politique, le président Tebboune souligne que trois partis seulement ont contribué au débat relatif l’amendement de la loi électorale. « Le dialogue politique national va rassembler une vingtaine de partis politiques avant de voter de mettre en œuvre, les nouvelles dispositions électorales », a-t-il précisé.
Répondant à la question de l’évolution de la numérisation, le président Tebboune, déplore un grand retard dans ce secteur. « Nous avons rencontré des résistances qui ont ralenti l’opération dans certains secteurs. D’ici le mois de décembre prochain, je vais prendre des décisions radicales », a-t-il martelé et de poursuivre que l’argent sale de la Issaba, font dans la résistance pour se protéger et garder leurs biens mal acquis.
Revenant sur la question de la nomination d’un jeune ministre Oualid El Mahdi, qui vient du secteur des nouvelles technologies et des startups vers l’agriculture, le président Tebboune, répond que « Le monde de l’agriculture a beaucoup changé. L’agriculture est passée du mode traditionnelle vers le monde moderne. On doit s’adapter à l’évolution d’une nouvelle politique et vision pour aller de l’avant.» fait-il savoir. S’agissant de l’arrivée de 9 femmes dans le nouveau remaniement du gouvernement, le président de la République « Je ne fais pas de différences dans la gestion des affaires publiques. Cest la compétence est les résultats qui déterminent la qualité des personnes et postes de ministres. Cela ne veut pas dire qu’elles vont rester s’il n’y a pas d’évolution et des résultats apparents. Cela s’applique à tout les autres secteurs », a-t-il souligné.
Accroché sur la question de la sécurité intérieure, notamment le sujet quotidien relatif à la fuite du général El Djen, que l’on pensait tabou surtout dans les médias lourds comme la télévision nationale, le président de la République résume tout en quelques lignes « L’ennemi et la complicité intérieur, est plus dangereuse que l’ennemi qui vient de l’extérieur » avant de conclure par le devoir et la responsabilité de tout le monde dans la protection et la sauvegarde de la paix et la stabilité du pays.
A.C

