Vingt quatre heures après la publication de notre article, samedi 28 septembre, sous le titre : UNIVERSITE : Cela se passe à la résidence 17 octobre à Bejaia, les deux étudiantes en dernière médecine, ont étés rétablies dans leurs droits. Les deux futures médecins qui comptent comptent continuer leurs études dans le domaine de la médecine, ont étés obligée de changer de chambre à contre cœur pour aller dans une autre chambre plus dégradée. Fort heureusement que l’impacte médiatique et le sens de responsabilité des uns est des autres, ont réagit sur place pour rétablir les deux étudiantes dans leurs droits en les orientant vers une autre chambre de cinq étudiantes de différentes années universitaires, a-t-on appris auprès de notre source qui a soulevée cette dérive bureaucratique de l’administration de cette résidence. Les étudiantes sont plus au moins satisfaites par rapport à la chambre là ou elles étaient casées à leurs retour des grands vacances sous le prétexte du temporaire. le temporaire qui dure souvent.
Menace sur les espaces verts
Par ailleurs, notre source bien informé de la situation du monde universitaire à Bejaia, n’a pas manqué de soulever la dégradation de l’environnement professionnelle à l’université Aboudaou. » J’ai rencontré des enseignants à l’université Aboudaou qui se sont plaints de la dégradation des espaces verts » et d’ajouter « Ces enseignants sont très attentif à la protection des espaces verts et la qualité de l’environnement. ils sont connus et reconnus par leurs sagesses et préoccupations par les questions d’intérêt général « , fait il savoir.
Il y a lieu se souligner et de rappeler également que l’université de Bejaia est bien réputée pour la qualité de son environnement en termes de qualité et niveau d’enseignement universitaire dans le continent Africain, ainsi que ses espaces verts qui apporte le confort depuis son lancement. Si les enseignants expriment un mécontentement total, non pas par rapport à leurs intérêt personnel, mais, à la problématique de la dégradation des espaces verts qui se répercutèrent négativement sur la vie universitaires qui touche aussi bien les étudiants et les enseignant, il y a lieu de s’inquiéter sur les prochaine années, si l’on ne dit stop la bétonisation des espaces verts. ça reste un appel solennel a tout ceux qui veulent entendre avant que ce soit tard. La préservation des espaces verts préoccupe l’Etat au plus haut niveau. Le rectorat de l’université Aboudaou a certainement une réponse à ce sujet. A suivre.
Rédaction