Cela s’est passé aujourd’hui vers 13h00 à l’occasion de l’opération de paiement de la facture d’abonnement internet fibre optique. L’agent s’est illustré par un comportement qui reste à désirer, non professionnel et anti commercial à l’agence commercial Didouche Mourad. » La convention concerne seulement les journalistes des organes publics, comme la télévision et la radio nationale et non pas la presse privé. Nous n’avons pas reçu de documents qui inclut les journalistes du secteur privé » à indiqué pour la deuxième fois cet agent.
Faisant référence à la convention collective convenue entre Algerie Télécom et l’organisation des journalistes algeriens depuis belle lurette, organisation présidée par le journaliste Slimane Abdouche, deux agences commerciales à savoir l’agence Didouche Mourad et de la grande poste qui ont données la même réponse. sans savoir qu’il s’agit de la presse nationale qui ont les mêmes droits et devoir en termes de services publics.
» La convention collective concerne tout les journalistes algeriens sans distinction. Il reste 2 ou 3 points seulement pour finaliser le document« , a souligné Slimane abdouche dans un appel téléphonique.
Pis encore, on exige la photo copie de la carte presse aux journalistes qui est sensé être protégé dans sa profession régit par code de l’information spécifique au métier. La presse y va dans l’intérêt général national et du service public sans distinction. Sauf dans certains esprits qui restent figés,fermés et ségrégationistes.
S’il s’agit d’une décision d’un simple agent, on peut dire qu’il il ne connaît pas ou ne fait pas son travail convenablement ou de l’agence. C’est une chose interne. S’il s’agit d’une décision du département commercial qui exige la photo copie carte presse au journaliste, c’est encore pire.
On ne sait pas faire la différence entre ce qui un secret professionnel lié aux exigences de la pratique du journalistique. » Il suffit de présenter la carte presse pour faire foie. On ne laisse pas des photocopies ici et là pour un journaliste. Les agents de l’administration changent se mutent, mais pas les journalistes qui sont appelés à couvrir les événements au niveau nationale, même s’il y a changement. » On ne fait pas de différence entre journaliste. Une seule corporation. Le risque zéro n’existe pas. », souligne, S. F, journaliste dans un quotidien nationale qui a été étonné par cette disposition commerciale qui ne devra pas avoir lieu. Et d’ajouter » Le journaliste à une mission d’information qui concerne tout les secteurs et domaines. Il n’a pas à laisser ses coordonnés obligatoirement pour faire son travail ou pour un besoin purecommercial « , a-t-il ajoutée.
Pour ceux qui ne connaissent pas les tenant et les aboutissants de telles procédures liée à la presse, doivent consulter la constitution et le code de l’information. Autrement dit. C’est inconcevable de mettre tout les métiers dans un même sac et conditions morales et professionnelles.
La différence réside entre ceux qui connaissent et font le travail convenablement et d’autres qui font l’impasse sur les exigences morales et professionnelles et médias en particulier.
A.C

