Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a pourtant, appuyé la liberté d’exprression, la protection des journalistes, la pratique du métier dans le respect de l’éthique et de la déontologie, en allant jusqu’a organiser des tables rondes et débats mensuel pour se rapprocher du peuple et de la réalité quotidienne des citoyens. mais…
Dans la réalité, ce n’est pas toujours le cas. Contraiement à des dizaines de députés qui sortent du sujet, en s’exprimant sur des questions de fond et de l’existence meme des médias depuis deux siecles, en plus de l’arrivée de la presse électronique, des députés dépasse de trés loin, veulent changer la profession pour écrire dans le sens du poile, pendant que d’autres ont préférés s’abstenir de s’exprimer sur le sujet de la nouvelle loi sur l’information, afin d’éviter toutes confusion.
« Je ne veux pas intervenir sur le projet de loi sur les médias, pour la simple raison, je ne maitrise pas le sujet. » a souligné le député Fawzi Benamar, que nous avons approché à l’APN, afin de s’exprimer sur le débat qui entoure le sujet de la nouvelle loi sur l’information en algérie. Plus 80 personnes sur plus de 400 députés prennent tour à tour, la parole sur le sujet de l’adoption de la nouvelle loi sur l’information sous la chapelle du ministre de la communication Mohamed laagab, ancien journaliste qui connait la réalité à un de 90% soit mieux que la quasi majorité des députés qui ont voule donner des leçons aux journalistes, surtout pour les anciens, avec lesquelles, on devraient plutot, tirer des leçons au lieu de faire de condamner et faire des propositions de lois toutes azimutes qui vont à l’encontre même de la pratique médiatique en algérie.
« Le journalisme, s’intéresse aux trains qui arrivent en retard et non pas ceux qui arrivent à temps », soulignent plusieurs députés qui ont plus des notions de bases sur la pratique journalistique en algérie ou à travers le monde des médias de manière générale.
Ce n’est pas étonnant, et ce, n’est pas nouveaux aussi lorsque l’on relève des incohérences déplorable au niveau de l’hémycle qui organise une séance pleiniere en présence du ministre de la communication, Mohamed lagab, qui s’est exprimé aujourd’hui et devra répondre à toutes les questions posées au sujet de la pratique des médias en algérie qui constitue, non seulement le quatrieme pouvoir, mais, le premier pouvoir du point de vue des Etat développeé dans le monde.
Les journalistes qui ont desreté le métier par centaines, a cause de la précarité et la ferméture du champs médiatiques, devraient être plutot revenir et préserver le peu de journalistes professionnelle qui reste pour en faire profiter la nouvelle génération, au lieu de refaire les meme érreurs du passé. Un pouvoir, sans contre pouvoir, en libérant l’intélligence citoyenne et la liberté d’expression ne peut en aucun cas aller de l’avant pour le développement nationale. la responsabilité des députés qui votent des lois, sans tenir comptes des tenants et aboutissant, sont responsable de la démission et de la censure, mais, surtout, l’autocensure qui frappe les journalistes au point de devenir de simple fonctionnaire et salariés tout court. ce n’est pas le cas dans le métier du journalisme. Le journalisme, c’est l’oxygène de tout les peuples depuis sa création il y a près de deux siècles.
A.C