Au delà de l’acte de censurer un passage d’une emission pour donner plus de temps pour l’autre intervenent ou une toute une emission, ça reste question qui se pose d’elle même. Pour quel intérêt censure t-on, surtout, lorsque il s’agit du respect de l’ethique qui répond à l’exigence médiatique. Un service publique qui se trouve entre les mains de chef ou du journaliste animateur qui censure, à quoi ça sert ?
Autant de questions qui suscitent des interrogations tout au long des années. Priver le public de la vérité, ce n’est pas bon du tout. Censurer telle ou telle partie , c’est priver le pu blic de son droit et le devoir du journaliste et animateur d’exprimer ses idées et pensées librement. Ce n’est autre que prise de position pour cacher les vérités. Ces vérités souvent, sont plus importantes pour éclairer l’opinion publique sur des sujets tabou.
De quel droit un chef de service, rédacteur en chef ou journaliste prend position ? On doit etre au dessus des parties; Si non, vaut mieux faire un autre métier et se décharger des postes de responsabilité. Si ce n’est une peur legitime pour garder son poste au détriment du droit du public auditeurs, c’est la méconnaissance et la transgression des regles du métier du journalisme. Cela se fait dans les coulisses.
Dans toutes les emissions ouvertes au débat contradictoires, il n’est pas question que la censure prend place arbitrairement au detriment du droit des auditeurs, d’où la choix des audieurs qui zappent les chaînes locales au profit des chaînes étrangères.
» Je ne regarde jamais les chaînes de télévisions algérienne. Il n’y rien à voir. Que de la censure et des programme médiocres. La dominance des émissions religieuses prennent souvenr le dessus. On a oublié les conséquences de la partialité dans les discours religieux deurant la décennie noire. Maintenant, c’est une autres catégories de salafisme qui s’installe sournoisement au detriment d’une véritable société ouverte sur le monde et l’évolution des TIC qui a transformé la vie des peuples au niveau mondial », déplore hocine qui garde un dent contre les programmes des chaînes locales.
Souffrant du mal de la censure sur decions irreflichie d’une part et d’un côté l’autocensure qui se trouve plus grave encore pour se libérer des carcans du moyens âge et de la culture de la période coloniale qui reste encore dans le subconscient, le temps et de prendre ses responsabilités à tous les niveaux et interdire l’effet et les faits ciseaux qui réprimé la parole. Avec les nouvelles dispositions mondiale, on ne fait que cacher le soleil avec un tamis. A bon entendeur des médias lourds qui sont la locomotive des générations entières.
A.C