La participation de 500 entreprises et 15 pays étrangers à la FIA 2019, ne peuvent sans doute pas s’en passer d’évoquer ne serait-ce un instant de parler des acquis et attentes du peuple Algérien depuis le 22 février 2019. Lueur d’espoir. « Je n’ai jamais étais heureux depuis 1962 jusqu’au jour où j’ai vu et vécu cette lutte contre la corruption qui m’a redonné confiance et espoir pour aller de l’avant » a lancé spontanément, un chef d’entreprise qui en a gros le cœur. A l’instar de tous ceux qui sont déçu à cause de cette environnement économique et commerciale défavorable ou autrement dit, qui favorise les uns au dépend des autres non pas sur la base du savoir et compétences, mais malheureusement qui provient des pratiques bannit par la moral et les lois qui régissent leurs fonctionnement. Les comportements nuisibles au développement durable qui sont propre aux systèmes corrompu et administration bureaucratique, ne produisent et reproduisent que chômage, déficit et fatalités. Justement et parce que aucune économie dans le monde ne peut se faire et se développer sans la formation, sans la protection et l’accompagnement de l’entreprise depuis sa création jusqu’à son niveaux d’excellence que l’administration doit se mettre à l’évidence, non pas contrôler au point de pénaliser l’acte de gestion qui peut être conséquence de plusieurs facteurs que l’on doit faire tout dans la transparence. L’utilisation et élargissement des TIC est justement un facteur de succès clé (FCS) qui facilite le développement favorable de son environnement interne et externe. L’entreprise productrice de richesses qui emploient des dizaines, voire des centaines et milliers d’employés, contribue au développement local, régional et national et aussi multinationale, n’est autre que la résultante de valeurs du peuple Algérien qui aspire au changement développement pacifique au point de devenir un mode et un modèle d’expression positif qui place chacun devant ses droits et obligations. Plus important des acquis jusqu’à présent, c’est ce qui reste à faire de mieux en mieux pour le développement de l’économie nationale à commencer par l’accompagnement de l’entreprise productrice de valeurs ajoutées et des richesses aussi bien matérielles et immatérielles. Oui, l’entreprise au coeur du développement.
A.C