Aymene Benabderrahman, prmier ministre et ministre des finanace, place la lutte contre la corruption et actions de lutte contre la dilapidation des deniers publiques, et la relance de l’économie du pays, comme condition sine qua none, pour le rétablissement de la confiance entre les citoyen et le gouvernement.
Répondant aux questions des députés, concentrés dans leurs majorités à la dégradation du pouvoir d’achats, la problématique de la santé, les préoccupations du fonciers qui bloque le développement et la réouverture de l’activité des entreprises qui souffrent depuis près de 2 ans déja, Ayemen benabderahmane a été claire dans sa réponse en avançant d’emblée que » La dégradation de la situations est une conséquences d’un cumule de situation que tout le monde connait, a commencer par la corruption qui a gangrené les institutions avant de vivre la crise sanitaire qui a touché le monde entier. Néanmoins, le gouvernement a pris en considération toutes les questions et préoccupations soulevés par les députés, afin de réagir dans un cadre bien étudié qui vont dans le sens du rétablissement de la dynamique économique, sociale et pour tout ce qui répond aux exigence de la vie saine des citoyens », selon le premier ministre, qui n’a pas manqué de revenir sur la réforme du système bancaires algérien, afin d’encourager les investissements.
La question des subventions des produits de premières nécessité a couté trop cher à l’Etat dans la mesure ou c’est tout le monde qui profite de cette situation, sans tenir compte des exigences économique. » Désormais, les citoyens vont payer les prix des consommations aux prix réel, tout en bénéficiant des aides directe de l’Etat, afin de faire la part des choses entre ceux qui ont les moyens et les citoyens qui sont vraiment dans la logiques des aides octroyées sur leurs salaires etc », a-t-il indiqiué.
Le premier ministre a parlé de la réforme profonde de la fonction publique qui doit trouver les solutions idoines avec l’ensemble du mouvement syndicale et associations représentatives.
Pour se faire, Aymene Benabderrahmane, a parlé de la mise en oeuvre des mécanismes qui sont mis en place pour la lutte contre les phénomènes bureaucratique à commencer par la corruption et le contrôle rigoureux, ainsi que le passage à informer périodiquement les représentants du peuple quant à la mise en oeuvre des projets contenus dans le Plan d’action du Gouvernement qui repose sur les 54 engagements contenus dans le programme du président de la République Abdelmadjid Tebboune.
Amar CHEKAR