Monsieur le ministre
Monsieur le directeur général de l’Agence AADL
Avant de passer droit au but, je vous invite à voire l’heure. je rédige cette présente lettre que vous lisez entre vos mains. Voir le temps de la rédaction et de la publication de ma doléance comme dernier et ultime recours, concernant ma souscription au logement AADL2 Numéro 160724 405 que j’attends depuis 10 ans déjà. 2h00 du matin. Il y a des limites à tout. Dois-je continuer à rêver d’un logement ou laisser tomber ? J’ai perdu le sommeil… je me révolte contre moi même qui a gardé tout ce silence depuis.
Mes confrères journalistes hors wilayas d’Alger qui sont dans la même situations que moi, ont déjà leurs toits, mais pas Amar Chekar, 59 ans, de Bejaia, j’ai consacré ma vie moral et professionnelle, pour toute l’Algérie sans distinction, et souvent en laissant mon intérêt personnel de côté, rien que pout être utile pour notre pays le service concerné de l’Agence AADL a failli à sa responsabilité. Nous savons qu’il y a des souscripteurs qui ont poursuivit l’agence AADL et ont gain de cause.
Autre question que je me pose. Ont-ils perdu mon attestation de travail de l’expression à l’époque. Pour l’histoire. Le Directeur général de l’Agence AADL que je ne connais ni de près ni de loin ; m’a appelé en personne pour vérifier et confirmer la véracité de mon attestation de travail. Je peux vous fournir dix attestations de travail en tant que journaliste. Mais, en tant que journaliste professionnelle depuis plus de trente ans pour me demander une résidence d’Alger. Je trouve cela aberrant, injuste, déloyale et une insulte à l’intelligence des journalistes algériens en générale et en particulier moi-même.
C’est-à-dire, on pousse les gens à se débrouiller pour présenter une résidence au détriment de sa propres consciences, valeurs et honnêteté intellectuel et éthique professionnelle.
Pourquoi nous faire attendre autant d’années pour un logement. Vous-même vous l’avez déclaré publiquement que l’ordre chronologique sera respecté depuis que vous étiez à la tête de l’Agence AADL, mais, malheureusement ce n’est pas le cas.
Monsieur le ministre
Le service concerné de l’agence AADL, s’est moqué de ses souscripteurs à commencer par moi-même qui a préféré la voix et la voie de la sagesse.
Après plus de 30 ans de presse au service de l’intérêt général et national, le service concerné AADL, m’exige une résidence si non, je n’aurai pas de logement à Alger. N’est ce pas de l’exclusion et de la bureaucratie administrative qui fait sa loi au sein de l’agence AADL ?
Vous pouvez le vérifier vous-même sur google, le service concerné de l’agence AADL se moque de ma personne depuis.
Est-ce parce que je suis trop gentil ?
Après six 6 RDV au niveau du service commercial AADL Said Hamdine pour réclamer l’évolution de ma situation avec le paiement de deux premières tranches, que vous pouvez vérifier vous-même et pour chaque RDV, je reçois une réponse différente de l’autre, la dernière réponse date d’aujourd’hui, 3 octobre à 14h58, je reçois une réponse suite à m toute récente et sixième réclamation pour me dire que je dois présenter une résidence, alors que M Abdelmadjid Tebboune, au poste de ministre de l’habitat à l’époque l’a dit publiquement à la télévision et chaîne de radios nationale, que les journalistes ne sont pas concernés par ce document. L’attestation travail suffit largement pour savoir que les journalistes qui sont dans la même situations que moi, travaillent à Alger.
Ceci d’une part. D’autre parts. La quasi majorité de mes confrères et consœurs journalistes, ont leurs logements depuis . Bien que leurs numéros de souscriptions sont venus bien après moi.
La question se pose d’elle-même. Pourquoi tout ce mal et bureaucratie au niveau de l’agence AADL ou la transparence fait défaut ?
Sur ce, je n’oserai pas poursuivre l’agence AADL pour rétablir mon droit au logement à Alger et conformément à mon dossier en bonne et due forme, mais, je fais appel de manière solennels à votre conscience et celle des responsables, de l’agence AADL.
Autrement dit. j’invite les responsables de l’agence AADL pour vérifier le lieu de mon habitation vétustes, dégradé qui risque l’effondrement au moindre séisme ou fortes chutes de pluies. Le résultat, serait au moins une dizaine de personnes qui risque de perdre leurs vies dans le même bâtiment.
Après les dégâts, beaucoup diront que c’est le destin. Mais, ce n’est pas le destin. C’est la responsabilité de l’agence AADL qui excelle dans la bureaucratie administrative.
Moi Amar CHEKAR. Journaliste digne de sa profession et patrie. Je n’abandonne pas mon droit au logement. Je n’accepterai jamais que l’on me pousse au pire et je continuerai à dénoncer le mal ou qu’il soit quitte à mourir sous les décombres. Mais, je reste moi-même journaliste au service de l’intérêt général et national.
Espérant avoir élucidé une partie du fonctionnement maladroit vis-à-vis des souscripteurs, je vous prie, monsieur le ministre de l’habitat, de l’urbanisme et de la ville de prendre les choses du bon côté et surtout pensez à ceux qui ne savent pas lire et écrire pour réclamer et défendre leurs droits. Ils souffrent dans le silence et la solitude, et ce, sont des centaines et des milliers que l’on rencontre dans la vie quotidienne.
Amar CHEKAR
Journaliste et fondateur du site
Algerie62.dz