Quel redressement veut on ? Redressement politique ? Redressement Démocratique ? Redressement historique ? Redressement économique ? Redressement juridique ? Redressement sociale et culturelle ?. Redressons nous même. Tout est à redresser. aux médias de respecter leurs métiers. aux juges d’êtres justes avec eux meme et avec la loi. Aux politiques de réduire le mensonges et les promesses utopiques.
Nul n’est prophète dans son pays. La religion est une affaire personnelle entre la créature et son créateur. Entre l’homme créature éphémère est dieu créateur éternel. Il n’y a pas de prophète après Mohamed SSSL. L’idéologie politique religieuse est révolue depuis 14 siècles.
Tout est à redresser à commencer par mettre de l’ordre dans nos propres idées et analyses, afin de faire face aux ennemis extérieurs qui profitent justement des brèches pour justifier leurs actions les feux de forêts qu’a connu le pays, n’est pas une catastrophe naturelle. Mais, un acte criminel qui répond aux stratégies politiques, économiques et militaires justement.
Cinquante et Neuf 59 ans après l’indépendance nationale, L’Algérie a connu 8 présidents. Aucun président n’a été élu par le peuple, sans compter le nombre de gouvernements et de ministres qui sont passés depuis. Tous imposé par la force des choses.
A l’exception du président Liamine Zeroual qui a démissionné après trois 3 ans seulement de son mandat, avant de laisser place à Bouteflika qui a régné durant 20 ans «1999-2019 », le pays retombe dans les mêmes calcules politiques. Beaucoup se rappel du retrait de 5 candidats à la présidence à la fois.
Le premier acte de violence politique, est venu 3 ans après l’indépendance du pays, qui sort de 7 ans de guerres féroce et de 132 ans de colonialisme français. Le 5 juillet 1962, le peuple algérien fête son indépendance. Aziz B, agé de 70 ans environ, se remémore son enfance. « J’étais présent dans le bureau de vote. J’ai assisté à toute l’opération du référendum du peuple qui a voté à 99% pour l’indépendance. Il y avait quelques bultin seulement et insignifiant devant le vote des algériens pour leurs indépendance, ces bultin ont étés déchirés pour avoir 100% de votants pour l’indépendance. C’est à partir de là que l’idée m’y venue en perdant toute éspoir quant à l’avenir de notre pays et indépendance », fait-il savoir.
Très discret, Aziz, un algérien patriote et intellectuel averti, n’en parle plus du sujet. Il fait son travail rien que pour gagner son salaire. Le côté politique des choses ne l’intéresse plus depuis.
L’Algérie qui a connu autant de redressement depuis le 19 juin 1965 où l’on a parlé de redressement de la révolution, peut-elle retrouver son chemin de bonheur et de prospérité ?
A.C